Retour sur l'actualité

Samedi 12 septembre a été proposé par la Ville d'Is-sur-Tille le spectacle « Très nettement Trenet » écrit et interprété par Yvan Dlajoie.
Il s’agissait d’un tour de chant en hommage aux 100 ans du «  Fou Chantant », Charles Trenet, qui a marqué la chanson française par ses textes poétiques et ses rythmes joyeux. L’interprétation et la mise en scène, intimistes, tantôt drôles, tantôt émouvantes, ont comblé les spectateurs qui le temps d’une soirée se sont replongés un siècle en arrière.

« Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues »
                L’âme des poètes. Charles Trenet.

La comédie burlesque Madame Maitresse a offert aux spectateurs présents ce samedi 19 septembre un véritable moment de détente et de rire !

Le programme de cette maitresse chauvine fut la Bourgogne, et rien que la Bourgogne sans oublier le patrimoine d’Is-sur-Tille dans ce week-end des journées du patrimoine ! Violaine, l’auteur et interprète de cette pièce, a su rendre ce personnage loufoque, tantôt drôle, tantôt cruel, bien attachant. Cette Madame Maitresse a en effet une véritable vocation de la transmission de la culture et du patrimoine de la Bourgogne mais avec des méthodes pédagogiques bien à elle. La malbouffe, la culture SMS, les restrictions budgétaires… rien n’a pas échappé à cette institutrice retraitée venue faire un remplacement temporaire pour soutenir l’éducation nationale !

Journée du patrimoine.

Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine la municipalité d’Is-sur-Tille a proposé une balade  présentant les édifices le long des biefs. Le parcours a été construit et commenté par René Perrat membre de la société d’histoire Tille-Ignon qui en plus de ses connaissances ne manque pas d’anecdotes cocasses qui ont agrémenté l’histoire de notre cité. Une visite du colombier habituellement fermé au public a pu être possible à l’occasion de cette journée.
Un peu d’histoire : L’Ignon qui traverse Is-sur-Tille a permis au fil des siècles la création de quatre biefs qui aujourd’hui constituent le patrimoine et l’identité de notre ville. Pendant des siècles l’énergie hydraulique fut la force essentielle utilisée dans l’industrie et l’artisanat. Papeteries, tanneries, moulins à grain, menuiseries, fabrique de dérailleurs à bicyclette... se sont installés aux bords des biefs de notre ville. Il existe des preuves d’existence de moulins sur les biefs des Courtines et Jeans de Norges dès 1185 et dès 1312 pour le bief de Villecharles. À partir de 1566, le bief de la Forge faisait fonctionner un foulon. Les biefs avaient également une utilité domestique. Le 23 janvier 1793, la municipalité signale cinq moulins à eau. Le 3 mars 1958, quatre usines sont répertoriées soit deux moulins, une huilerie et un battoir à écorce.
De nos jours, nous retrouvons des maisons, des édifices au bord des biefs qui ont fait l’histoire d’Is-sur-tille. Les petits ponts et viviers privés, les lavoirs, les ponts et les passerelles viennent enjoliver notre ville.

Musique et théâtre !

Samedi 3 octobre a été proposée à la salle des Capucins une comédie burlesque, la pièce policière "Oseille et pissenlits" écrite par Jean-Jacques Michelet et publié fin 2011 aux éditions parisiennes de l'Harmattan.
Sur une idée originale de Marc Esposito intitulée « Jazz et polar » ce spectacle réunissait les musiciens du Trio T3Bis et cinq comédiens de la compagnie dijonnaise La Tête De Mule.
Ces professionnels du spectacle ont reçu un très bon accueil du public venu nombreux et qui n’a pas manqué de saluer la prouesse de ces musiciens et comédiens. Un beau mariage de deux disciplines artistiques différentes !

Exposition Espace Carnot jusqu’au 1^er novembre !

Trois artistes ont eu la bonne idée de se réunir pour une exposition d'œuvres picturales, de sculptures, de céramiques et d'objets d’art design ou plutôt Re-design.

Sophie Muzart a créé son atelier Muzart Re-design qui se situe aujourd’hui à Bèze. Pourquoi le préfixe « re » ? Parce que l'artiste redonne vie à des objets usagés, les détourne de leur fonction première pour en faire des créations uniques. Elle récupère, réinsère, remodèle, recycle, réhabilite, restructure, recrée, repense, mais aussi rêve… Une marque, une trace, une bosse témoigne de la première vie de ces objets. La mise en lumière est réalisée avec du matériel électrique neuf et de première qualité respectant les normes de sécurité et assurant la viabilité de l'œuvre.
C’est  finalement dans un style contemporain que Sophie Muzart réalise ses œuvres à partir d’objets anciens à qui elle redonne « une âme ».

Il est encore temps de réserver vos places pour le spectacle de Christian Legal « 100 VOIX EN L'AIR » qui aura lieu le ce vendredi 12 février 2016 salle des Capucins !

Quoi de neuf docteur ?

Lors d’un séminaire annuel totalement déjanté, le personnel soignant d’un hôpital (vraiment pas comme les autres !) est convié à s’exprimer. Du grand patron à l’infirmier, en passant par les médecins, l’anesthésiste, le responsable du service psychiatrique ou celui des urgences..., chacun a son mot à dire !

Sans détour, ils se livrent peu à peu... jusqu’au total « pétage de plombs» lorsque les participants de cette joyeuse réunion revêtent la voix de personnalités les plus inattendues et notamment Johnny, Fabrice Lucchini, Franck Dubosc, Jean-Jacques Goldman, Michel Polnareff, Patrick Timsit, Laurent Ruquier, Florent Pagny, Muriel Robin, Nikos Aliagas... Généreux, caustique et insolite, Christian Legal montre ainsi l’étendue de son talent de stand up.

Une occasion inespérée pour l’humoriste-imitateur de « 100voyer en l’air ! » avec délectation, dans ce chaos hilarant. Christian Legal 100 voix en l’air !, encore plus dingue que Docteur House ou Grey’s Anatomy !

PS : Attention risque d'épidémie de « legalo-mania » !

Ce samedi 14 novembre, c’est avec beaucoup d’émotion que le spectacle-lecture « Le Matin des Bleuets » a été joué. L’association P« ART »age proposait une création originale coécrit par Philippe Nouvier et Corinne Mathey, mêlant théâtre, lecture, vidéo et chansons en mémoire aux soldats de la guerre 14-18. Ces vies brisées d’il y a un siècle ont été associées au début de la soirée à un hommage aux vies brisées des attentats de ce vendredi 13. Et comme l’a évoqué Philippe Nouvier, c’est avec une énergie décuplée pour toutes ces victimes que les comédiens amateurs et professionnels ont joué ce soir là.
Entre la mobilisation générale et l’armistice, ce sont les moments de vie des poilus qui ont été retracés, leurs perceptions de vie sacrifiée notamment à travers La Chanson de Craonne revisitée. Les actions d’autres personnes plus connues ont été citées  comme le célèbre et héroïque aviateur Roland Garros qui laissera sa vie lors d’un combat aérien,  la visite aux poilus de la comédienne Sarah Bernhardt sur le front… C’est aussi pendant cette période la naissance du Canard Enchainé, en riposte à la censure de la presse, l’union de soldats de différentes nationalités un soir de Noël qui, parmi d’autres évènements, ont été relatées…
Ce spectacle s’est conclu par un hommage à « tous ces soldats inconnus ». Puis les artistes ont interpellé « nos petits comédiens » les enfants de la section Théâtre d’Escale21 qui ont cité avec beaucoup d’envie et de cœur les 69 soldats Issois morts lors de cette Grande Guerre avec l’aide précieuse de leur professeur Yvan d’La Joie.
Un grand merci aux bénévoles du cercle généalogique de Côte-d’Or qui ont recensé tous les morts pour la France pendant cette Première Guerre mondiale pour tout le département. Ce travail, en particulier celui de Gérard Jossot, a permis d’identifier quatorze soldats ne figurant pas sur le monument aux morts de notre commune.

Nous avons eu le plaisir d’écouter, ce samedi 21 novembre, le concert de la Sainte-Cécile organisé par l’ASEDM en partenariat avec la ville d’Is-sur-Tille.
Désormais ce concert aura lieu chaque année dans la semaine de la Sainte Patronne des musiciens et musiciennes.
La première partie a été assurée par le quartet de Jazz composé d’Hervé Voirin au vibraphone, Joseph Oneglia à la guitare, François Bordes à la basse et de Jean-Charles Thomas à la batterie.
Puis, après avoir joué La Marseillaise et invité le public à les rejoindre dans cet élan d’hommage et de solidarité vis-à-vis des récents attentats, la Lyre Vald’Is a interprété Royal Canadian Sketches sous la direction de Bertrand Jeannin puis sous la direction de Jean-Charles Thomas des musiques de films (Batman, Ratatouille, Terminator, Le petit Baigneur) et Another Brick in The Wall (Pink Floyd).
Jean-Charles Thomas a salué  l’excellent travail effectué en seulement deux mois et demi par les musiciens. Il a souligné que certains d’entre eux notamment les plus jeunes viennent de l’école de musique et ont intégré l’orchestre de la Lyre à la rentrée de septembre. Ce fut donc une grande première pour eux.
Le public a été conquis par la qualité des deux formations de cette soirée.

Exposition d’un bel univers de masques et de peintures à découvrir jusqu’au 13 décembre à la salle d’exposition de l’Espace Carnot par Diploé, peintre et artiste plasticienne. Le visiteur est invité dans un monde dédié au rêve, à l’enfance, au merveilleux,  un monde rassurant, accueillant…
Les objets de la peinture de Diploé que sont les maisons, les arbres, les animaux, les têtes de bonhomme,  les visages, le cirque, les routes sont les dessins de l’enfance. Les couleurs chaudes et éclatantes employées sont celles du bonheur. Le tout est composé avec subtilité. Les supports et matériaux sont divers : toiles, papiers, carton, bois, ficelles. L’acrylique, le collage sont les techniques utilisées.
Diploé laisse dans son œuvre une place importante aux masques. Les masques d’animaux sont les déguisements de l’enfance. Ils évoquent le besoin de l’enfant de développer son imaginaire « de faire comme si » et c’est une étape dans sa construction. Les Masques plus simples, plus sobres évoquent ceux de l’adulte, ce qui est camouflé dans l’intérieur profond de la personne et qui ne demande qu’à être révélé. C’est aussi ce qui a peut-être  été cultivé pendant l’enfance et qui peut-être n’a pas pu  encore être exprimé. Et c’est de cette dualité, entre ce qui est apparent et ce qui est caché qu’est né Diploé. Ce pseudonyme de cet artiste est emprunté du grec ancien diploos qui signifie double.
C’est donc dans un univers poétique, imaginaire et  théâtral que s’exprime la peinture de Diploé, un monde qui  finalement ne nous est pas tout à fait inconnu car il sommeille en chacun de nous.

Ce vendredi 18 décembre la chorale Singall Gospel, venue de Dijon, a offert un magnifique concert à la salle des Capucins. À quelques jours des fêtes de fin d’année, ce chœur, sous la direction principale d’Audrey Roger, a  su communiquer aux spectateurs venus nombreux sa bonne humeur et ses valeurs de partage.

Entre chants de Noël et Gospel, le programme était composé de morceaux grandioses et d’autres plus intimistes.

À noter la prouesse des voix individuelles accompagnées avec ou sans l’ensemble ainsi que l’alternance des chefs de chœur soulignant la complicité, la communion et la polyvalence des choristes. Un bon moment d’union et de joie !

Il est encore temps de réserver vos places pour le spectacle de Christian Legal « 100 VOIX EN L'AIR » qui aura lieu ce vendredi 12 février 2016 à 20h30 salle des Capucins !

Quoi de neuf docteur ?

Lors d’un séminaire annuel totalement déjanté, le personnel soignant d’un hôpital (vraiment pas comme les autres !) est convié à s’exprimer. Du grand patron à l’infirmier, en passant par les médecins, l’anesthésiste, le responsable du service psychiatrique ou celui des urgences..., chacun a son mot à dire !

Sans détour, ils se livrent peu à peu... jusqu’au total « pétage de plombs» lorsque les participants de cette joyeuse réunion revêtent la voix de personnalités les plus inattendues et notamment Johnny, Fabrice Lucchini, Franck Dubosc, Jean-Jacques Goldman, Michel Polnareff, Patrick Timsit, Laurent Ruquier, Florent Pagny, Muriel Robin, Nikos Aliagas... Généreux, caustique et insolite, Christian Legal montre ainsi l’étendue de son talent de stand up.

Une occasion inespérée pour l’humoriste-imitateur de « 100voyer en l’air ! » avec délectation, dans ce chaos hilarant. Christian Legal 100 voix en l’air !, encore plus dingue que Docteur House ou Grey’s Anatomy !

PS : Attention risque d'épidémie de « legalo-mania » !

MUSIQUES LATINES pour guitare.

Samedi 12 mars, l’ASDEM et L’école de musique Les milles et une Notes ont proposé un concert Masterclass de guitare autour de musiques latines. L’invité d’honneur n’était autre qu’Alessio Nebolio, musicien italien, qui mène une carrière internationale de soliste et se produit dans les plus importantes saisons de concerts en Europe, Asie, Amérique du Nord et du Sud.

Les élèves des classes de guitares et de flûtes de l’école de musique ont assuré la première partie de cette soirée. Ils ont pu ensuite apprécier la prestation de leur professeur François Piazza dans son duo avec Delphine Coulon. Pour cette occasion, les deux artistes avaient choisi des morceaux inédits de leur répertoire. Tous les deux se produisent en concert ou en récital soliste en France et à l’étranger. Ils font partie également de l’ensemble de Guitares Linhares où ils retrouvent Alessio Nebolio. Enfin, ce dernier a proposé des musiques hispaniques sous le signe du voyage, du rêve et de l’imaginaire.

L’espace Carnot accueille jusqu’au 16 mai l’exposition « Huile au couteau » d’Éliane Ruiz.
Éliane était enseignante, elle a commencé la peinture en 1969 et depuis 2007, date de la retraite, elle y consacre une grande partie de son temps. C’est d’un besoin de s’exprimer autrement que par des mots qu’est née cette passion. Si la peinture est pour l’artiste un grand moment d’évasion et de détente, ses compositions sont d’une grande rigueur et sont le résultat d’un travail de plusieurs années en autodidacte, enrichi de rencontres artistiques et agrémenté de quelques stages. En effet, pour cette autre partie de sa vie, Éliane a préféré l’école buissonnière à une école « conventionnelle ».
Les thèmes de ses œuvres sont diversifiés et dans cette exposition, on peut admirer aussi bien du figuratif que de l’abstrait. En effet, si on retrouve ses sujets favoris comme les fleurs, les paysages, les portraits humains et animaliers, Éliane présente ses premières œuvres abstraites qui, aujourd’hui, sont l’essentiel de son travail.
La technique de la peinture à l’huile au couteau lui permet d’obtenir des effets de matière et de texture. Elle « peint dans le frais », superposant, travaillant les différentes couches de peintures, grattant, lissant, mettant du relief et jouant avec les couleurs. Les différentes toiles sont éclatantes de couleur et de lumière.
Qu’elles soient figuratives ou pas, le public est dans un premier temps absorbé par ses œuvres, par la perspective et l’énergie des peintures abstraites, captivé par la gaieté des couleurs, la chaleur humaine et l’émotion qui se dégagent des toiles d’Éliane. Dans un deuxième temps lorsqu’on s’approche plus près des toiles, on est admiratif et curieux du travail de la matière.
Éliane Ruiz veut sa peinture « vive, gaie, riche en couleurs, présentant de multiples facettes ». Elle veut « étonner, séduire, réjouir l’œil du visiteur ».

Exposition « Oraison pour les enfants syriens » à la chapelle Saint-Charles.

Fatimane, de son nom d’artiste, cherchait un endroit différent des salles d’exposition, un lieu brut, austère, pour présenter ses œuvres « Oraison pour les enfants syriens ». La chapelle Saint-Charles au cœur de l’ancien cimetière s’est tout naturellement imposée. Cette chapelle, délaissée depuis longtemps, a été construite par la famille Charbonnel en mémoire de leur fille, Caroline, disparue à l’âge de 10 ans. Ce cadre invite totalement au recueillement.
Fatimane est un artiste local, engagé, qui exprime ses convictions à travers sa peinture. Ses œuvres sont toujours abstraites, intrigantes et il faut un certain temps pour tout voir, pour tout analyser. Il y a trois ans, il avait présenté à l’espace culturel Carnot d’immenses toiles où étaient magnifiquement orchestrés des articles des droits de l’Homme en écriture arabe. Aujourd’hui, il avait envie de faire un geste pour son pays d’origine, la Syrie. Mais cette fois, il n’a pas choisi l’abstraction, il est revenu au figuratif, au réalisme pour nous mettre subitement en face de l’insoutenable, des visages d’enfants meurtris. Ces peintures sont criantes de désespoir, de peur, de douleur. La couleur dominante est un rouge sang. Des enfants, sans cheveux, nous laisse penser que c’est la mort qui les attend. Chaque trait de chaque visage est marqué par la souffrance. Ce sont des pleurs, des regards perdus, lointains, interrogateurs, anéantis. Fatimane nous interpelle devant la condition des enfants en Syrie qui vivent l’enfer depuis cinq ans, ce sont les premières victimes de cette guerre à l’origine civile. Aucun modèle d’enfant n’a été utilisé pour ces créations, toute cette souffrance représentée, qui nous frappe et nous bouleverse vient de l’âme de l’artiste.
Lors du vernissage de cette exposition, qui s’est tenue du 7 au 15 mai, des élèves de l’école de musique, les Milles et une notes, ont interprété « pour le rire d’un enfant », une œuvre de Bruno Giner.
Puis Leyla Rabih a lu des extraits du recueil de poèmes de l’auteur Maram Al Masri « elle va nue ma liberté ».

Discours de Christine Soldati, adjointe chargée de la Culture

Lundi 16 mai, le Conservatoire européen des cloches et horloges d’édifice de Côte-d’Or (CECH)  et l’équipe municipale ont organisé des visites du clocher de l’église Saint-Léger.
C’était l’occasion de venir découvrir les trois cloches :
• Louise de 1783, 1802 Kg et sonne en ré
• Geneviève-Marie-Thérèse-Jeanne de 1926, 525 kg, sonne le sol
• Suzanne-Mélanie (1835), 334 kg, sonne en si bémol.

Cette manifestation a permis à environ 120 visiteurs de découvrir l'église Saint-Léger.

L’espace culturel Carnot accueille jusqu’au 5 juin 2016 l’exposition «  Retour aux sources » de l’artiste photographe local Marc Jeudy.

Un peu plus d’un an après avoir présenté ses œuvres  « abstractions photographiques », photos prises avec la technique du numérique, Marc Jeudy revient à la photographie argentique. Sa technique purement artisanale apporte une qualité supérieure et une certaine chaleur. Marc Jeudy fait partie des rares photographes qui utilisent des procédés anciens dits « techniques de virages » qui permettent de « colorier » partiellement les sujets photographiés.
Ce n’est pas un retour aux sources uniquement par la technique utilisée mais aussi par les thèmes. Marc Jeudy est le photographe de la nature morte même s’il ne fait pas que ça. Il compose le plus souvent avec des objets, des fruits et légumes, des fleurs, il les met en scène judicieusement sur des supports et avec des arrière-plans dont la couleur et la matière sont en harmonie avec les sujets présentés. Les différentes sources de lumière viennent faire ressortir cette mise en scène et les différents détails. Notre emblème bourguignon, l’Hélix pomatia est aussi de retour. Cet escargot qui caractérise notre région est un des sujets les plus photographié par notre artiste. Qu’il soit pris seul ou qu’il rentre dans une composition, il est sublimé. Parmi les nouvelles réalisations, on remarque également ces magnifiques mains offrant un œuf  précieux et fragile. La musique et ce qu’elle représente pour l’artiste est également immortalisée.
Comme toujours, Marc Jeudy révèle son émotion poétique devant les différentes beautés qu’il a entrevues dans le choix de ses compositions et dans chaque sujet.

La Fête Celtique organisée par l’association Celt’Is Tri Steriou, la foire organisée par la municipalité et la braderie des commerçants se sont joliment mêlées pour offrir une belle animation ce samedi 28 mai.
Trois groupes de Pipe Bands, Celtic Ried’S Pipers, Auld Alliance, les Sonneurs de Grenoble ainsi qu’un groupe de danse bretonne, le Biz Bihan, se sont succédés sur le podium installé dans la cour du Château Charbonnel dès 14 h 30.
Puis à 17 h, les sons des cornemuses et des tambours ont parcouru les rues et places de la ville pour terminer par un Mass Band place Général-Leclerc. Le soir, un groupe folklorique du Morvan débutait la soirée en faisant danser un public ravi quand la soirée a été interrompue par la pluie.
Dimanche matin différents groupes ont reçu un bel accueil à l’établissement des Eaux Vives et à la Maison de Retraite où ils ont joué quelques morceaux devant les résidents tandis que d’autres membres des groupes se produisaient sur la place du monument à Marcilly-sur-Tille.

Un vent de « Folies Douces » s’est levé sur la scène de la salle des Capucins ce samedi 4 juin. De l’écriture à la mise en scène, en passant par le casting à la peur du trou de mémoire, le Théâtre des Trois Rivières a abordé toutes les problématiques « physiques » du théâtre avec beaucoup d’humour. Cette succession de saynètes a été mise en scène par Anne-Lise Lodenet, professeur de la troupe de théâtre locale. Une belle réussite et beau moment de détente !

SAMEDI 15 OCTOBRE 2016 20H30 Salle des Capucins à Is-sur-Tille !

Hommage à SUPERTRAMP adoubé par Roger HOGDSON et John HELLIWELL

COVERTRAMP, ce sont 6 musiciens, très présents sur diverses scènes françaises, multi-instrumentistes (comme l’étaient les Supertramp), qui se sont trouvés une passion commune pour ce groupe mythique qu’est SUPERTRAMP. Plus de 2 heures de concert reprenant principalement les 5 albums au succès planétaire !

RESERVATIONS
• à la bibliothèque municipale
mardi de 16 h 30 à 18 h,
mercredi de 11 h à 12 h et de 14 h à 19 h,
vendredi de 16 h 30 à 18 h 30
• ou via le formulaire ci-dessous. Cette pré-réservation sera validée à réception du paiement par chèque (à l’ordre du Trésor public) à la bibliothèque, 1 avenue Carnot 21120 Is-sur-Tille.
La confirmation se fera par mail. Les billets seront à retirer le jour même du spectacle à l’accueil de la salle des Capucins.

TARIF unique : 15 euros

La compagnie Quilombo est venue présenter sa création, « Notre histoire... c'est l'Histoire », ce samedi 9 juillet.

Les musiques et chansons accompagnent nos histoires personnelles et l’histoire collective. C’est ainsi que dans un décor de salle de bal, le public a pu traverser l'histoire de la société française de 1915 à 2015 au rythme des musiques qui ont marqué plusieurs générations. La mise en scène, les costumes, les attitudes, la gestuelle et les expressions des visages des comédiens ont retranscrit les mœurs des soirées dansantes de chaque décennie et ont pu rappeler à chaque spectateur des souvenirs personnels mais aussi remémorer des évènements importants de l’histoire. Une belle réussite de cette compagnie locale qui se situe à Le Meix.