Retour sur l'actualité

Depuis le 5 avril, une cagnotte en ligne a été diffusée afin de restaurer 4 tableaux issois. La commune lance un appel à la générosité pour permettre à chacun de participer à ce projet de sauvegarde du patrimoine local.

Is-sur-Tille est propriétaire de 4 tableaux de grand format réalisés par les peintres Félix Laidet (1884-1964) et Gabriel Daudret tous deux natifs de la ville. Ces peintures avaient été commandées par Paul Morel, maire d’Is-sur-Tille de 1945 à 1961. Elles témoignent de paysages bien connus des Issois : Bord du quai Jacques-Miton, Rue Gambetta, Lavoir de la rue Gambetta, Cascade des Capucins.

Autrefois exposés dans la salle du conseil de la mairie, ces tableaux sont aujourd’hui stockés, en attente de restauration.

Un défi est organisé par la bibliothèque municipale d'Is-sur-Tille tous les mois.

Pour le mois d'avril, c'est le Land art qui consiste à créer des œuvres à partir d'éléments de la nature

Une balade guidée et commentée dans les bois de Montchevreuil, a permis aux visiteurs de se rendre aux carrières où était extraite la pierre d'Is-sur-Tille. L’abandon de l’exploitation laisse aujourd’hui une architecture du paysage à part.

A la recherche du cinquième élément….

L’ensemble Carpé D’Yème composé de Catherine de Preissac (Harpiste), Armelle Yème (pianiste), Alain Auxeméry (Pianiste et Contrebassiste), Pierre-Jean Yème (Flûtiste), Jean-Michel Roger (comédien et auteur) nous ont présenté samedi 8 novembre leur concert « A la recherche du cinquième élément ». Ce spectacle, très singulier, a été mis en scène par Alain Féret. Les quatre éléments, l’eau, le feu, le vent et la terre ont été interprétés en musique et poésie auxquelles se sont rajoutés l’humour, la fantaisie, la sensibilité et la générosité des artistes et du metteur en scène. Jean-Michel Roger, le narrateur de ce spectacle qui est aussi artiste peintre retrouve grâce à l’énergie véhiculée par les musiciens et le thème des quatre éléments l’inspiration perdue. Il compose alors durant cette représentation une œuvre picturale au rythme des musiques. Le cinquième élément ne serait-il pas la musique ?

Carpé D’Yème propose des spectacles et moments musicaux originaux et va à la rencontre de tous les publics. Ils ont notamment joué la veille de cette prestation pour les écoles d’Is-sur-Tille. Ces artistes sont sollicités également par des associations humanitaires et caritatives.

La troupe du Théâtre des Trois Rivières a interprété samedi 15 novembre dernier une comédie de Guy Foissy « Vive la libre Entreprise ». La mise en scène a été faite et soignée par Anne-Lise Lodenet de la compagnie « le Beau Chaos ». C’était la première représentation de cette pièce pour nos comédiens amateurs et une première expérience pour certains !

L’histoire est celle de quatre vieilles filles et leurs deux nièces qui ont hérité d’une entreprise multi centenaire « Les Pompes Funèbres Royales » au bord de la faillite. Elles expérimentent toutes les solutions pour que perdure l’entreprise familiale avec plus ou moins de bonheurs, mais toujours avec enthousiasme. S’il n’y a plus de morts, faisons-en ! Directement du producteur à l’incinérateur. Un jeune homme s’infiltre dans ce clan, sa candeur se transforme vite en audace et il les rejoint vite sur la voie du succès.

Tous les problèmes qui font notre quotidien tels que les difficultés économiques, la population vieillissante, la mort… sont traités ici avec beaucoup d’humour et de légèreté et toujours avec beaucoup de dynamisme.

Ce vendredi 28 novembre à l'espace culturel Carnot avait lieu l'inauguration de l'exposition « Abstractions photographiques » de Marc Jeudy. Le photographe, célèbre pour ses portraits d’artistes en noir et blanc ainsi que ses clichés de Tchernobyl, a pour cette exposition mis le numérique au service de son art pour créer un nouveau style à partir de détails d’objets quotidiens ou usuels, marqués par la rouille. A découvrir ou redécouvrir jusqu'au 14 décembre.

Ce dimanche 15 février, Nicolas Chevereau au piano et Leyla-Claire Rabih à la lecture ont fait découvrir au public la musique libanaise issue de croisements de nombreuses cultures qui ont façonné leur pays. Ce récital de piano, organisé par la ville et la compagnie Arteggio, a proposé des œuvres entre l’espérance de paix et de joie inhérente à la guerre dans ce pays.

Le vernissage de l’exposition de Bénédicte Nagot-Smeeckaert a eu lieu jeudi 12 mars.

Vous pourrez admirer ses œuvres jusqu’au 29 mars inclu.

Notre  artiste locale a débuté ce vernissage en rendant un hommage à son beau-frère Alain qui l’a beaucoup encouragé dans ce travail de la terre. Quelques soit les représentations, celle du monde animal, celles de personnages imaginaires, celles de personnages réels et mythiques, chaque sculpture véhicule un message.

De chaque attitude choisi, de chaque geste et mouvement, de chaque  position, de chaque expression de visage, de chaque regard se dégage une certaine spiritualité, une émotion, un apaisement.

A travers ses œuvres Bénédicte retranscrit son chemin intérieur et son rapport au monde.

« Partant de la Terre, modeler en laissant s’exprimer les mains, et le cœur jusqu’à trouver l’Âme »  Bénédicte Nagot

Samedi 21 mars, la désormais traditionnelle journée du livre, organisée par la société d’Histoire de la Tille et de l’Ignon, a connu un véritable succès avec 568 entrées.
Une trentaine d’exposants étaient rassemblés à la salle des capucins. Livres anciens, ouvrages d’écrivains régionaux et locaux, littérature de jeunesse, romans, documentaires, bandes dessinées, vielles affiches, cartes postale… : un choix important d’ouvrages était présenté pour satisfaire le plus grand nombre de visiteurs.

Les contes de Perrault mis en scène par la Compagnie Divague ont « en’chantés » les plus petits mais aussi les plus  grands. L’histoire du « Petit Poucet » et celle de « Cendrillon » ont été racontées et chantées par deux sopranos, une mezzo-soprano, un baryton accompagnés d’un pianiste, le tout sur une musique d’Isabelle Aboulker.
La Compagnie Divague a proposé par le biais de contes connus une très belle initiation à l’art vocal.

La compagnie DIVAGUE nous a présenté samedi 14 mars un spectacle magnifique alliant chant lyrique avec la Soprano Clémentine Decouture, harpe avec la musicienne Chloé Ducray et danse contemporaine avec Jade Decouture. Les spectateurs présents ont pu saluer la qualité de ce spectacle. Ces trois artistes ont sublimé par leur complémentarité et complicité les œuvres de Ravel, Debussy, Fauré ainsi que des chansons populaires comme « Coccinelle demoiselle », « Au clair de lune », « Ah vous dirai-je maman », « Colchique dans les prés » . . .

Du 4 au 15 avril dernier, les peintures à l'encre de Chine de Lu Yi-Ling étaient exposées à l'Espace Carnot

Lu Yi-Ling est diplomé  en art et en restauration de l’art de l’université de Huafan (Taiwan). Elle s’est consacrée à  l’apprentissage des techniques  de peinture à l’encre de Chine pendant 6 ans auprès de son professeur Qin Lai-Chun .

Vendredi 10 avril, la ville d’Is-sur-Tille a proposé le récital « De la Mélancolie à la lumière slave », interprété par le pianiste Maurizio PROSPERI actuellement chef de chant à l’opéra de Dijon et par la chanteuse lyrique Sylvaine BERTRAND, mezzo-soprano, professeur au conservatoire de Dijon.

Pour la première partie nous avons eu le plaisir d’écouter les élèves de la classe piano de l’école de musique "Les mille et une notes" sous la direction de leur professeur Rémy POPIELARZ.

Dans une seconde partie nos deux artistes de renom nous ont présentés des œuvres significatives du répertoire russes et polonais : Tchaïkovski, Rachmaninov, Chopin, Scriabine, Rimsky-Korsakov.

La Lyre Vald’Is et leur invité le groupe Zhéphir nous ont offert un superbe concert ce  samedi 4 avril à l’occasion de l’inauguration du nouveau nom de l’Ecole de musique, « Les mille et une notes »et une rétrospective sur son histoire.

La première partie était assurée par la Lyre qui nous a proposé toute d’abord « Royal Canadian Sketches » par Ralph Ford,  composition en trois mouvements qui évoque le désert le l’Alberta au Canada, un hommage aux pionniers  et une révérence aux Splendeurs de la nature. Ensuite a été joué « PHOENIX » de Carl Blades et enfin « l’histoire d’Anne Franck ». Pour ce dernier morceau, un montage vidéo conçu par Franck Oblinger était projeté retraçant la courte vie de cette jeune déportée en 1944. Un moment très émouvant.

L’espace Carnot accueille actuellement l’exposition de Myriam DRIZARD jusqu’au 11 mai. Myriam nous vient de la Vallée de la Loue , son atelier est établi à Ornans, petite ville du Doubs chargée d’histoire et entourée de magnifique paysage et où la peinture y a trouvé toute sa place. C’est la ville natale de Gustave Courbet. Aujourd’hui entre musées et galeries, la ville d’Ornans offre la possibilité de découvrir ou redécouvrir des peintres reconnus et accorde une grande place à nos peintres contemporains. Myriam Drizard a notamment été la première artiste invitée par le Musée Courbet à exposer ses œuvres dans le cadre de la ferme de Flagey. Notre artiste est diplômée des Écoles des Beaux-Arts de Besançon et Lyon ainsi que de l'École des Arts décoratifs de Strasbourg, elle est lauréate du prix du Musée du Louvre "créer d'après les maîtres".

Après avoir exploré la figuration avec personnages  Myriam Drizard a porté son regard sur les paysages et couleurs de la Vallée de la Loue pour ensuite traduire les impressions de cieux et nuées. Quelque soit le genre, portrait, nu ou paysage c’est l’énergie et la force qui se dégage en premier des œuvres de Myriam Drizard. C’est « une peinture gestuelle » comme elle le décrit avec pudeur. Pastels, encres, pigments, sont parfois combinés avec différentes matières comme le sable pour accrocher la lumière et la couleur et donner plus de vie à sa peinture.

Tous les deux ans au mois de juin a lieu le festival Tambourinis organisé par l’ASDEM se déroulant sur un week-end.

Ce festival a donc démarré samedi 13 juin à la salle des capucins avec un conte musical pour les enfants "la note magique" puis un concert de jazz avec le groupe Valérie Graschaire Trio. Deux prestations de très haute qualité.

Le dimanche le spectacle de rue fut un beau succès. Des groupes de percussions déambulaient dans les rues, se croisaient, se chahutaient gaiement tandis que d’autres musiciens, danseurs et acrobates animaient trois scènes situées places de la République, Général-Leclerc et Docteur-Grépin. Parmi eux : la section cirque de l’école musique Les Milles et une Note accompagnée de musiciens, Häftaparat , Akili Sigui , L’atelier djembe, Les Amazones de Layba, Kourouma, Farafina Foli, Bric à brac Orchestra, Trio de Steel, Cosmics Masters, La Batucada d’Anatole, La Batucada du collège.

La soirée a démarré par un apéritif musical offert par la municipalité. Cet apéritif était animé par le groupe Jazz Funk dans la cour de l’espace culturel Carnot, puis l’Orchestre Étincelle a pris le relais pour la suite de soirée.

D’autres groupes étaient présents en ville tels que Music-hall studio sur la place Jean-Durant, DeeJay Méot sur la place de la République et le groupe Still Deh Ya, rue Jean-Jaurès.

En mai et juin, deux festivals ont eu lieu à Is-sur-Tille : festival des Mots croisés et Tambourinis. Ces manifestations ont eu beaucoup de succès grâce à la mobilisation de nombreux bénévoles sollicités par les associations Is Mots croisés et l’ASEDM. Ainsi, lundi 29 juin, les élus de la municipalité ont tenu a remercier tous ces participants qui ont contribué à de très belles animations de la ville. Pendant le pot de l’amitié, les personnes présentes ont pu visionner une centaine de photos prises lors de ces manifestations.

La ville d'Is-sur-Tille a organisé vendredi 10 juillet un spectacle musical pour petits et grands à la salle des Capucins, avec Guy Chapalain, Florence Sodoyer, Emmanuelle Clinet et Jean-Michel Solesle. La compagnie Quatre à Quatre a proposé un voyage au coeur de l’Amérique latine, mais aussi un voyage dans le temps à l’époque des Conquistadors. Les musiciens-conteurs ont dessiné un paysage exotique, fantastique et haut en couleur !

Le stage de musique à Is-sur-Tille a commencé dimanche. De nombreuses aubades publiques sont prévues tout au long du stage, en particulier au centre-ville d'Is-sur-Tille. Aujourd'hui, le centre-ville a de nouveau reçu la visite des musiciens au moment de midi pour une aubade publique, devant la mairie, percussions, cuivres et bois ont proposé quelques moments musicaux aux habitants et aux visiteurs de passage.
D'autres prestations musicales sont prévues à 11h45, jeudi, place de la République (devant l'office du tourisme) et vendredi square des Capucins.
Programme pour le reste de la semaine :
Jeudi 20 août à 18h30 parc du Château à Grancey-le-Chateau (entrée 2€ pour adultes, gratuit pour les stagiaires et les enfants)
Vendredi 21 août 18h30 salle des Capucins à Is-sur-Tille (Musiques actuelles). Entrée libre
Samedi 22 août à 16h30 salle Lescure à Selongey, suivie du barbecue (18h30) et du concert final (19h30). Entrée libre

Samedi 12 septembre a été proposé par la Ville d'Is-sur-Tille le spectacle « Très nettement Trenet » écrit et interprété par Yvan Dlajoie.
Il s’agissait d’un tour de chant en hommage aux 100 ans du «  Fou Chantant », Charles Trenet, qui a marqué la chanson française par ses textes poétiques et ses rythmes joyeux. L’interprétation et la mise en scène, intimistes, tantôt drôles, tantôt émouvantes, ont comblé les spectateurs qui le temps d’une soirée se sont replongés un siècle en arrière.

« Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues »
                L’âme des poètes. Charles Trenet.

La comédie burlesque Madame Maitresse a offert aux spectateurs présents ce samedi 19 septembre un véritable moment de détente et de rire !

Le programme de cette maitresse chauvine fut la Bourgogne, et rien que la Bourgogne sans oublier le patrimoine d’Is-sur-Tille dans ce week-end des journées du patrimoine ! Violaine, l’auteur et interprète de cette pièce, a su rendre ce personnage loufoque, tantôt drôle, tantôt cruel, bien attachant. Cette Madame Maitresse a en effet une véritable vocation de la transmission de la culture et du patrimoine de la Bourgogne mais avec des méthodes pédagogiques bien à elle. La malbouffe, la culture SMS, les restrictions budgétaires… rien n’a pas échappé à cette institutrice retraitée venue faire un remplacement temporaire pour soutenir l’éducation nationale !

Journée du patrimoine.

Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine la municipalité d’Is-sur-Tille a proposé une balade  présentant les édifices le long des biefs. Le parcours a été construit et commenté par René Perrat membre de la société d’histoire Tille-Ignon qui en plus de ses connaissances ne manque pas d’anecdotes cocasses qui ont agrémenté l’histoire de notre cité. Une visite du colombier habituellement fermé au public a pu être possible à l’occasion de cette journée.
Un peu d’histoire : L’Ignon qui traverse Is-sur-Tille a permis au fil des siècles la création de quatre biefs qui aujourd’hui constituent le patrimoine et l’identité de notre ville. Pendant des siècles l’énergie hydraulique fut la force essentielle utilisée dans l’industrie et l’artisanat. Papeteries, tanneries, moulins à grain, menuiseries, fabrique de dérailleurs à bicyclette... se sont installés aux bords des biefs de notre ville. Il existe des preuves d’existence de moulins sur les biefs des Courtines et Jeans de Norges dès 1185 et dès 1312 pour le bief de Villecharles. À partir de 1566, le bief de la Forge faisait fonctionner un foulon. Les biefs avaient également une utilité domestique. Le 23 janvier 1793, la municipalité signale cinq moulins à eau. Le 3 mars 1958, quatre usines sont répertoriées soit deux moulins, une huilerie et un battoir à écorce.
De nos jours, nous retrouvons des maisons, des édifices au bord des biefs qui ont fait l’histoire d’Is-sur-tille. Les petits ponts et viviers privés, les lavoirs, les ponts et les passerelles viennent enjoliver notre ville.

Musique et théâtre !

Samedi 3 octobre a été proposée à la salle des Capucins une comédie burlesque, la pièce policière "Oseille et pissenlits" écrite par Jean-Jacques Michelet et publié fin 2011 aux éditions parisiennes de l'Harmattan.
Sur une idée originale de Marc Esposito intitulée « Jazz et polar » ce spectacle réunissait les musiciens du Trio T3Bis et cinq comédiens de la compagnie dijonnaise La Tête De Mule.
Ces professionnels du spectacle ont reçu un très bon accueil du public venu nombreux et qui n’a pas manqué de saluer la prouesse de ces musiciens et comédiens. Un beau mariage de deux disciplines artistiques différentes !

Exposition Espace Carnot jusqu’au 1^er novembre !

Trois artistes ont eu la bonne idée de se réunir pour une exposition d'œuvres picturales, de sculptures, de céramiques et d'objets d’art design ou plutôt Re-design.

Sophie Muzart a créé son atelier Muzart Re-design qui se situe aujourd’hui à Bèze. Pourquoi le préfixe « re » ? Parce que l'artiste redonne vie à des objets usagés, les détourne de leur fonction première pour en faire des créations uniques. Elle récupère, réinsère, remodèle, recycle, réhabilite, restructure, recrée, repense, mais aussi rêve… Une marque, une trace, une bosse témoigne de la première vie de ces objets. La mise en lumière est réalisée avec du matériel électrique neuf et de première qualité respectant les normes de sécurité et assurant la viabilité de l'œuvre.
C’est  finalement dans un style contemporain que Sophie Muzart réalise ses œuvres à partir d’objets anciens à qui elle redonne « une âme ».

Il est encore temps de réserver vos places pour le spectacle de Christian Legal « 100 VOIX EN L'AIR » qui aura lieu le ce vendredi 12 février 2016 salle des Capucins !

Quoi de neuf docteur ?

Lors d’un séminaire annuel totalement déjanté, le personnel soignant d’un hôpital (vraiment pas comme les autres !) est convié à s’exprimer. Du grand patron à l’infirmier, en passant par les médecins, l’anesthésiste, le responsable du service psychiatrique ou celui des urgences..., chacun a son mot à dire !

Sans détour, ils se livrent peu à peu... jusqu’au total « pétage de plombs» lorsque les participants de cette joyeuse réunion revêtent la voix de personnalités les plus inattendues et notamment Johnny, Fabrice Lucchini, Franck Dubosc, Jean-Jacques Goldman, Michel Polnareff, Patrick Timsit, Laurent Ruquier, Florent Pagny, Muriel Robin, Nikos Aliagas... Généreux, caustique et insolite, Christian Legal montre ainsi l’étendue de son talent de stand up.

Une occasion inespérée pour l’humoriste-imitateur de « 100voyer en l’air ! » avec délectation, dans ce chaos hilarant. Christian Legal 100 voix en l’air !, encore plus dingue que Docteur House ou Grey’s Anatomy !

PS : Attention risque d'épidémie de « legalo-mania » !

Ce samedi 14 novembre, c’est avec beaucoup d’émotion que le spectacle-lecture « Le Matin des Bleuets » a été joué. L’association P« ART »age proposait une création originale coécrit par Philippe Nouvier et Corinne Mathey, mêlant théâtre, lecture, vidéo et chansons en mémoire aux soldats de la guerre 14-18. Ces vies brisées d’il y a un siècle ont été associées au début de la soirée à un hommage aux vies brisées des attentats de ce vendredi 13. Et comme l’a évoqué Philippe Nouvier, c’est avec une énergie décuplée pour toutes ces victimes que les comédiens amateurs et professionnels ont joué ce soir là.
Entre la mobilisation générale et l’armistice, ce sont les moments de vie des poilus qui ont été retracés, leurs perceptions de vie sacrifiée notamment à travers La Chanson de Craonne revisitée. Les actions d’autres personnes plus connues ont été citées  comme le célèbre et héroïque aviateur Roland Garros qui laissera sa vie lors d’un combat aérien,  la visite aux poilus de la comédienne Sarah Bernhardt sur le front… C’est aussi pendant cette période la naissance du Canard Enchainé, en riposte à la censure de la presse, l’union de soldats de différentes nationalités un soir de Noël qui, parmi d’autres évènements, ont été relatées…
Ce spectacle s’est conclu par un hommage à « tous ces soldats inconnus ». Puis les artistes ont interpellé « nos petits comédiens » les enfants de la section Théâtre d’Escale21 qui ont cité avec beaucoup d’envie et de cœur les 69 soldats Issois morts lors de cette Grande Guerre avec l’aide précieuse de leur professeur Yvan d’La Joie.
Un grand merci aux bénévoles du cercle généalogique de Côte-d’Or qui ont recensé tous les morts pour la France pendant cette Première Guerre mondiale pour tout le département. Ce travail, en particulier celui de Gérard Jossot, a permis d’identifier quatorze soldats ne figurant pas sur le monument aux morts de notre commune.

Nous avons eu le plaisir d’écouter, ce samedi 21 novembre, le concert de la Sainte-Cécile organisé par l’ASEDM en partenariat avec la ville d’Is-sur-Tille.
Désormais ce concert aura lieu chaque année dans la semaine de la Sainte Patronne des musiciens et musiciennes.
La première partie a été assurée par le quartet de Jazz composé d’Hervé Voirin au vibraphone, Joseph Oneglia à la guitare, François Bordes à la basse et de Jean-Charles Thomas à la batterie.
Puis, après avoir joué La Marseillaise et invité le public à les rejoindre dans cet élan d’hommage et de solidarité vis-à-vis des récents attentats, la Lyre Vald’Is a interprété Royal Canadian Sketches sous la direction de Bertrand Jeannin puis sous la direction de Jean-Charles Thomas des musiques de films (Batman, Ratatouille, Terminator, Le petit Baigneur) et Another Brick in The Wall (Pink Floyd).
Jean-Charles Thomas a salué  l’excellent travail effectué en seulement deux mois et demi par les musiciens. Il a souligné que certains d’entre eux notamment les plus jeunes viennent de l’école de musique et ont intégré l’orchestre de la Lyre à la rentrée de septembre. Ce fut donc une grande première pour eux.
Le public a été conquis par la qualité des deux formations de cette soirée.

Exposition d’un bel univers de masques et de peintures à découvrir jusqu’au 13 décembre à la salle d’exposition de l’Espace Carnot par Diploé, peintre et artiste plasticienne. Le visiteur est invité dans un monde dédié au rêve, à l’enfance, au merveilleux,  un monde rassurant, accueillant…
Les objets de la peinture de Diploé que sont les maisons, les arbres, les animaux, les têtes de bonhomme,  les visages, le cirque, les routes sont les dessins de l’enfance. Les couleurs chaudes et éclatantes employées sont celles du bonheur. Le tout est composé avec subtilité. Les supports et matériaux sont divers : toiles, papiers, carton, bois, ficelles. L’acrylique, le collage sont les techniques utilisées.
Diploé laisse dans son œuvre une place importante aux masques. Les masques d’animaux sont les déguisements de l’enfance. Ils évoquent le besoin de l’enfant de développer son imaginaire « de faire comme si » et c’est une étape dans sa construction. Les Masques plus simples, plus sobres évoquent ceux de l’adulte, ce qui est camouflé dans l’intérieur profond de la personne et qui ne demande qu’à être révélé. C’est aussi ce qui a peut-être  été cultivé pendant l’enfance et qui peut-être n’a pas pu  encore être exprimé. Et c’est de cette dualité, entre ce qui est apparent et ce qui est caché qu’est né Diploé. Ce pseudonyme de cet artiste est emprunté du grec ancien diploos qui signifie double.
C’est donc dans un univers poétique, imaginaire et  théâtral que s’exprime la peinture de Diploé, un monde qui  finalement ne nous est pas tout à fait inconnu car il sommeille en chacun de nous.

Ce vendredi 18 décembre la chorale Singall Gospel, venue de Dijon, a offert un magnifique concert à la salle des Capucins. À quelques jours des fêtes de fin d’année, ce chœur, sous la direction principale d’Audrey Roger, a  su communiquer aux spectateurs venus nombreux sa bonne humeur et ses valeurs de partage.

Entre chants de Noël et Gospel, le programme était composé de morceaux grandioses et d’autres plus intimistes.

À noter la prouesse des voix individuelles accompagnées avec ou sans l’ensemble ainsi que l’alternance des chefs de chœur soulignant la complicité, la communion et la polyvalence des choristes. Un bon moment d’union et de joie !

Il est encore temps de réserver vos places pour le spectacle de Christian Legal « 100 VOIX EN L'AIR » qui aura lieu ce vendredi 12 février 2016 à 20h30 salle des Capucins !

Quoi de neuf docteur ?

Lors d’un séminaire annuel totalement déjanté, le personnel soignant d’un hôpital (vraiment pas comme les autres !) est convié à s’exprimer. Du grand patron à l’infirmier, en passant par les médecins, l’anesthésiste, le responsable du service psychiatrique ou celui des urgences..., chacun a son mot à dire !

Sans détour, ils se livrent peu à peu... jusqu’au total « pétage de plombs» lorsque les participants de cette joyeuse réunion revêtent la voix de personnalités les plus inattendues et notamment Johnny, Fabrice Lucchini, Franck Dubosc, Jean-Jacques Goldman, Michel Polnareff, Patrick Timsit, Laurent Ruquier, Florent Pagny, Muriel Robin, Nikos Aliagas... Généreux, caustique et insolite, Christian Legal montre ainsi l’étendue de son talent de stand up.

Une occasion inespérée pour l’humoriste-imitateur de « 100voyer en l’air ! » avec délectation, dans ce chaos hilarant. Christian Legal 100 voix en l’air !, encore plus dingue que Docteur House ou Grey’s Anatomy !

PS : Attention risque d'épidémie de « legalo-mania » !

MUSIQUES LATINES pour guitare.

Samedi 12 mars, l’ASDEM et L’école de musique Les milles et une Notes ont proposé un concert Masterclass de guitare autour de musiques latines. L’invité d’honneur n’était autre qu’Alessio Nebolio, musicien italien, qui mène une carrière internationale de soliste et se produit dans les plus importantes saisons de concerts en Europe, Asie, Amérique du Nord et du Sud.

Les élèves des classes de guitares et de flûtes de l’école de musique ont assuré la première partie de cette soirée. Ils ont pu ensuite apprécier la prestation de leur professeur François Piazza dans son duo avec Delphine Coulon. Pour cette occasion, les deux artistes avaient choisi des morceaux inédits de leur répertoire. Tous les deux se produisent en concert ou en récital soliste en France et à l’étranger. Ils font partie également de l’ensemble de Guitares Linhares où ils retrouvent Alessio Nebolio. Enfin, ce dernier a proposé des musiques hispaniques sous le signe du voyage, du rêve et de l’imaginaire.

L’espace Carnot accueille jusqu’au 16 mai l’exposition « Huile au couteau » d’Éliane Ruiz.
Éliane était enseignante, elle a commencé la peinture en 1969 et depuis 2007, date de la retraite, elle y consacre une grande partie de son temps. C’est d’un besoin de s’exprimer autrement que par des mots qu’est née cette passion. Si la peinture est pour l’artiste un grand moment d’évasion et de détente, ses compositions sont d’une grande rigueur et sont le résultat d’un travail de plusieurs années en autodidacte, enrichi de rencontres artistiques et agrémenté de quelques stages. En effet, pour cette autre partie de sa vie, Éliane a préféré l’école buissonnière à une école « conventionnelle ».
Les thèmes de ses œuvres sont diversifiés et dans cette exposition, on peut admirer aussi bien du figuratif que de l’abstrait. En effet, si on retrouve ses sujets favoris comme les fleurs, les paysages, les portraits humains et animaliers, Éliane présente ses premières œuvres abstraites qui, aujourd’hui, sont l’essentiel de son travail.
La technique de la peinture à l’huile au couteau lui permet d’obtenir des effets de matière et de texture. Elle « peint dans le frais », superposant, travaillant les différentes couches de peintures, grattant, lissant, mettant du relief et jouant avec les couleurs. Les différentes toiles sont éclatantes de couleur et de lumière.
Qu’elles soient figuratives ou pas, le public est dans un premier temps absorbé par ses œuvres, par la perspective et l’énergie des peintures abstraites, captivé par la gaieté des couleurs, la chaleur humaine et l’émotion qui se dégagent des toiles d’Éliane. Dans un deuxième temps lorsqu’on s’approche plus près des toiles, on est admiratif et curieux du travail de la matière.
Éliane Ruiz veut sa peinture « vive, gaie, riche en couleurs, présentant de multiples facettes ». Elle veut « étonner, séduire, réjouir l’œil du visiteur ».

Exposition « Oraison pour les enfants syriens » à la chapelle Saint-Charles.

Fatimane, de son nom d’artiste, cherchait un endroit différent des salles d’exposition, un lieu brut, austère, pour présenter ses œuvres « Oraison pour les enfants syriens ». La chapelle Saint-Charles au cœur de l’ancien cimetière s’est tout naturellement imposée. Cette chapelle, délaissée depuis longtemps, a été construite par la famille Charbonnel en mémoire de leur fille, Caroline, disparue à l’âge de 10 ans. Ce cadre invite totalement au recueillement.
Fatimane est un artiste local, engagé, qui exprime ses convictions à travers sa peinture. Ses œuvres sont toujours abstraites, intrigantes et il faut un certain temps pour tout voir, pour tout analyser. Il y a trois ans, il avait présenté à l’espace culturel Carnot d’immenses toiles où étaient magnifiquement orchestrés des articles des droits de l’Homme en écriture arabe. Aujourd’hui, il avait envie de faire un geste pour son pays d’origine, la Syrie. Mais cette fois, il n’a pas choisi l’abstraction, il est revenu au figuratif, au réalisme pour nous mettre subitement en face de l’insoutenable, des visages d’enfants meurtris. Ces peintures sont criantes de désespoir, de peur, de douleur. La couleur dominante est un rouge sang. Des enfants, sans cheveux, nous laisse penser que c’est la mort qui les attend. Chaque trait de chaque visage est marqué par la souffrance. Ce sont des pleurs, des regards perdus, lointains, interrogateurs, anéantis. Fatimane nous interpelle devant la condition des enfants en Syrie qui vivent l’enfer depuis cinq ans, ce sont les premières victimes de cette guerre à l’origine civile. Aucun modèle d’enfant n’a été utilisé pour ces créations, toute cette souffrance représentée, qui nous frappe et nous bouleverse vient de l’âme de l’artiste.
Lors du vernissage de cette exposition, qui s’est tenue du 7 au 15 mai, des élèves de l’école de musique, les Milles et une notes, ont interprété « pour le rire d’un enfant », une œuvre de Bruno Giner.
Puis Leyla Rabih a lu des extraits du recueil de poèmes de l’auteur Maram Al Masri « elle va nue ma liberté ».

Discours de Christine Soldati, adjointe chargée de la Culture

Lundi 16 mai, le Conservatoire européen des cloches et horloges d’édifice de Côte-d’Or (CECH)  et l’équipe municipale ont organisé des visites du clocher de l’église Saint-Léger.
C’était l’occasion de venir découvrir les trois cloches :
• Louise de 1783, 1802 Kg et sonne en ré
• Geneviève-Marie-Thérèse-Jeanne de 1926, 525 kg, sonne le sol
• Suzanne-Mélanie (1835), 334 kg, sonne en si bémol.

Cette manifestation a permis à environ 120 visiteurs de découvrir l'église Saint-Léger.

L’espace culturel Carnot accueille jusqu’au 5 juin 2016 l’exposition «  Retour aux sources » de l’artiste photographe local Marc Jeudy.

Un peu plus d’un an après avoir présenté ses œuvres  « abstractions photographiques », photos prises avec la technique du numérique, Marc Jeudy revient à la photographie argentique. Sa technique purement artisanale apporte une qualité supérieure et une certaine chaleur. Marc Jeudy fait partie des rares photographes qui utilisent des procédés anciens dits « techniques de virages » qui permettent de « colorier » partiellement les sujets photographiés.
Ce n’est pas un retour aux sources uniquement par la technique utilisée mais aussi par les thèmes. Marc Jeudy est le photographe de la nature morte même s’il ne fait pas que ça. Il compose le plus souvent avec des objets, des fruits et légumes, des fleurs, il les met en scène judicieusement sur des supports et avec des arrière-plans dont la couleur et la matière sont en harmonie avec les sujets présentés. Les différentes sources de lumière viennent faire ressortir cette mise en scène et les différents détails. Notre emblème bourguignon, l’Hélix pomatia est aussi de retour. Cet escargot qui caractérise notre région est un des sujets les plus photographié par notre artiste. Qu’il soit pris seul ou qu’il rentre dans une composition, il est sublimé. Parmi les nouvelles réalisations, on remarque également ces magnifiques mains offrant un œuf  précieux et fragile. La musique et ce qu’elle représente pour l’artiste est également immortalisée.
Comme toujours, Marc Jeudy révèle son émotion poétique devant les différentes beautés qu’il a entrevues dans le choix de ses compositions et dans chaque sujet.

La Fête Celtique organisée par l’association Celt’Is Tri Steriou, la foire organisée par la municipalité et la braderie des commerçants se sont joliment mêlées pour offrir une belle animation ce samedi 28 mai.
Trois groupes de Pipe Bands, Celtic Ried’S Pipers, Auld Alliance, les Sonneurs de Grenoble ainsi qu’un groupe de danse bretonne, le Biz Bihan, se sont succédés sur le podium installé dans la cour du Château Charbonnel dès 14 h 30.
Puis à 17 h, les sons des cornemuses et des tambours ont parcouru les rues et places de la ville pour terminer par un Mass Band place Général-Leclerc. Le soir, un groupe folklorique du Morvan débutait la soirée en faisant danser un public ravi quand la soirée a été interrompue par la pluie.
Dimanche matin différents groupes ont reçu un bel accueil à l’établissement des Eaux Vives et à la Maison de Retraite où ils ont joué quelques morceaux devant les résidents tandis que d’autres membres des groupes se produisaient sur la place du monument à Marcilly-sur-Tille.

Un vent de « Folies Douces » s’est levé sur la scène de la salle des Capucins ce samedi 4 juin. De l’écriture à la mise en scène, en passant par le casting à la peur du trou de mémoire, le Théâtre des Trois Rivières a abordé toutes les problématiques « physiques » du théâtre avec beaucoup d’humour. Cette succession de saynètes a été mise en scène par Anne-Lise Lodenet, professeur de la troupe de théâtre locale. Une belle réussite et beau moment de détente !

SAMEDI 15 OCTOBRE 2016 20H30 Salle des Capucins à Is-sur-Tille !

Hommage à SUPERTRAMP adoubé par Roger HOGDSON et John HELLIWELL

COVERTRAMP, ce sont 6 musiciens, très présents sur diverses scènes françaises, multi-instrumentistes (comme l’étaient les Supertramp), qui se sont trouvés une passion commune pour ce groupe mythique qu’est SUPERTRAMP. Plus de 2 heures de concert reprenant principalement les 5 albums au succès planétaire !

RESERVATIONS
• à la bibliothèque municipale
mardi de 16 h 30 à 18 h,
mercredi de 11 h à 12 h et de 14 h à 19 h,
vendredi de 16 h 30 à 18 h 30
• ou via le formulaire ci-dessous. Cette pré-réservation sera validée à réception du paiement par chèque (à l’ordre du Trésor public) à la bibliothèque, 1 avenue Carnot 21120 Is-sur-Tille.
La confirmation se fera par mail. Les billets seront à retirer le jour même du spectacle à l’accueil de la salle des Capucins.

TARIF unique : 15 euros

La compagnie Quilombo est venue présenter sa création, « Notre histoire... c'est l'Histoire », ce samedi 9 juillet.

Les musiques et chansons accompagnent nos histoires personnelles et l’histoire collective. C’est ainsi que dans un décor de salle de bal, le public a pu traverser l'histoire de la société française de 1915 à 2015 au rythme des musiques qui ont marqué plusieurs générations. La mise en scène, les costumes, les attitudes, la gestuelle et les expressions des visages des comédiens ont retranscrit les mœurs des soirées dansantes de chaque décennie et ont pu rappeler à chaque spectateur des souvenirs personnels mais aussi remémorer des évènements importants de l’histoire. Une belle réussite de cette compagnie locale qui se situe à Le Meix.

Le forum des associations, organisé par la Ville d'Is-sur-Tille et l’Office municipal des sports, s’est déroulé samedi 3 septembre à la salle des capucins. 30 associations avaient répondu présentes, proposant autant de loisirs sportifs que culturels.
Les familles venues nombreuses d’Is-sur-Tille et des alentours ont ainsi pu se rendre compte de la richesse des activités qui leurs sont offertes. Il ne leur restait qu’à se décider sur lesquelles choisir !
Cette journée conviviale s’est terminée autour du verre de l’amitié proposé par la municipalité.

La ville d’Is-sur-Tille a eu le plaisir d’accueillir à l’Église Saint-Léger ce dimanche 11 septembre Mi-Ja KIM pour un récital lyrique.

Le répertoire de MI-JA est très varié et reflète un parcours artistique riche qui a débuté en Corée du Sud pour continuer en Côte-d’Or. Tout en s’accompagnant seule au piano, la chanteuse a offert au public une palette de chants :mélodies étrangères dont des chants coréens (nuage de fleurs de Heung Lyul Lee), Musique sacrée et de Gospel (Laudate Dominum de Mozart, whithout love Gospel…), musiques de film (Summer time de Georges Gershwin), de chants populaires (Mélodie du bonheur de Richard Rodgers, Alléluia Léonard Cohen…) et des airs d’opéra (Belle nuit, Oh nuit d’amour extrait des contes d’Hoffmann d’Offenbach, Ah ! Non crédea mirarti  extrait de La sonambulo Bellini…

Les spectateurs ont pu également s’essayer sur certains chants populaires poussés par l’enthousiasme de Mi-Ja et les membres de son association.

Journées européennes du Patrimoine

« Le thème de cette année « Patrimoine et Citoyenneté » nous renvoie aux sources même de cette manifestation créée en 1984 : celle d’une appropriation par tous d’un bien commun, d’une histoire commune. Le Patrimoine et la citoyenneté sont deux notions dont la jonction raconte notre histoire, notre passé, mais dessine aussi notre présent et notre avenir. » Audrey Azoulay, Ministre de la Culture et de la Communication.

La municipalité a proposé une balade dès le matin commentée par René Perrat, membre de la société d’Histoire Tille Ignon, autour de bâtiments qui ont conduit à la construction de l’Identité d’Is-sur-Tille. « Les arbres de la Liberté  à Is-sur-Tille », de leur origine de plantation à aujourd’hui, ont également été évoqués. Le plus vieux est celui de l’Allée Jean-Moulin, planté en 1948 à l’occasion du centenaire de la troisième révolution française. En lien avec l’exposition « Du Messager au facteur, Une exposition à prendre à la lettre » qui est actuellement à l’Espace Carnot, cette promenade s’est terminée par la découverte des anciens bâtiments postaux qui se sont succédés au fil des siècles.

L’espace Carnot accueille jusqu’au 23 octobre l’exposition de Pierre Bassard « Les Chemins de l’imaginaire ». Pierre Bassard est un artiste renommé de la région Bourgogne-Franche-Comté. Il vit dans sa ville natale de Besançon.
Pierre Bassard se manifeste dès 1961 en Franche-Comté et dès 1963 à Paris avec le Groupe Hétéros. Il est sélectionné pour le Prix Fénéon à Paris en 1966. Depuis 1970, il réalise de nombreuses expositions tant à Paris qu’en province et à l’étranger, et participe à de nombreux salons.
L’artiste peintre a son univers bien à lui ou plutôt son écriture bien à lui. Ses peintures sont chacune une narration. Elles sont inspirées de ses songes, beaucoup de ses lectures et en particulier des contes, du monde de l’enfance.
Quelque soit la technique utilisée, la peinture à l’huile, l’aquarelle ou la gravure, Pierre Bassard l’utilise remarquablement. Son art ne se limite pas à la composition sur toile, il illustre également des livres d’arts et il s’adonne à l’écriture notamment la poésie. Il a également conçu les vitraux de la chapelle d’Anjeux en Haute Saône.
Au cours du vernissage de cette exposition, Riewert Ehrich, critique d’art et ami de Pierre Bassard a présenté l’artiste en concluant sur ses œuvres par cette phrase de Erich Kästner « Seulement celui qui devient adulte en restant enfant, est un être humain ».
Pierre Bassard emmène le public vers de doux instants de rêverie, de poésie et d’évasion.

Ce samedi 15 octobre, les musiciens et chanteurs de Covertramp ont fait revivre le groupe mythique Supertramp pendant plus de deux heures de concert à la salle des Capucins, reprenant principalement les cinq albums au succès planétaire : « Crime of the Century » et « Breakfast in America », « Crisis, what crisis », « Even in the Quietest moments » et « the last famous words ». Les spectateurs venus très nombreux ont fait un bon en arrière de 30 ans, surpris par la fidélité des sons et sonorités parfaitement exécutés par ces six musiciens professionnels. À la performance vocale et musicale de ces multi-instrumentalistes s’ajoutait un magnifique jeu de lumière qui a sublimé l’ambiance de ce concert. Le public conquis, enthousiasmé, ému, devenu par moment chanteur, a pu à la fin de la soirée découvrir la gentillesse et la disponibilité de ces musiciens sans oublier les techniciens qui les accompagnent et tout l’encadrement.

Covertramp, c’est vraiment un hommage grandiose à Supertramp, un superbe témoignage de ce patrimoine musical pop-rock du 20^e siècle !

Exposition de sculptures - Isabelle Vervier
L’Espace culturel Carnot accueille jusqu’au 6 novembre l’exposition de sculptures d’Isabelle Vervier. C’est la première fois que cette artiste issoise, professeur des écoles, dévoile ses œuvres au public. Les sculptures qu’elle présente sont le fruit d’un travail qui a débuté il y a une vingtaine d’années avec des périodes plus ou moins actives. Isabelle Vervier est une autodidacte, elle effectue son chemin artistique seul, agrémenté de stages ou d’ateliers. Elle a notamment participé à l’Atelier Bleu à Meursault et plus récemment effectué un stage avec Florie Minot à Is-sur-Tille. Elle travaille la terre en fonction de ses humeurs et de ses différents instants de vie. Il en ressort des sculptures au relief parfois brut où l’on voit le façonnage par la main de l’artiste et l’aspect granuleux de la matière ou alors des sculptures plus lissées. Isabelle Vervier refuse les normes académiques, elle est guidée par ses envies et les premiers contacts qui se réalisent avec la terre au début de la création. Ses œuvres sont émaillées totalement, partiellement ou pas du tout. Ses sculptures sont principalement des bustes ou des personnages entiers. Il se dégage beaucoup de sensualité chez les couples et les femmes sculptés. D’autres sont des personnages plutôt drôles ou étranges, intrigants.

L’Espace culturel Carnot accueille actuellement l’exposition de Maxim Kimerling jusqu’au 18 décembre.
Ce jeune artiste photographe renommé est né en 1983. Il a passé sa jeunesse à Freiburg, puis a fait des études de Sciences politiques et d'histoire des beaux-arts dans les universités de Jena, Mayence et Rome. Il vit aujourd’hui à Cologne et a réalisé de nombreuses expositions individuelles et collectives en Allemagne.
A travers ses photos, il livre des scènes de la rue, des instants de vies qui semblent à tous familiers. C’est un chasseur d’images, on l’imagine errer dans les rues à l’affût, guettant patiemment que la cible choisie effectue le geste, le mouvement ou prenne une attitude qui sera immortalisée. Le noir et blanc de ses œuvres accentue l’intemporalité de ces instants capturés.
Parfois la photo est retravaillée, redécoupée. Les personnages sont retirés de leur contexte et projetés dans un autre lieu. Ces mises en scène, pleine de poésie, sont étonnantes et surprenantes de réalité.
Même s’il sillonne l’Europe, appareil photo à la main, il affectionne en particulier l’Italie avec ses villes d’art, et sans doute sa dolce Vita, cette atmosphère particulière qui donne l’impression que le temps s’est arrêté.
Un peu à la manière de Robert Doisneau, Maxime Kimerling immortalise et révèle des moments simples du quotidien où la dimension humaine prime. C’est un poète de la rue, mais aussi un humoriste…

Les frères Panini, Giovanni et Bénito, ont enthousiasmé les petits et les plus grands ce mercredi 14 décembre. Plusieurs numéros se sont enchainés avec beaucoup d’humour et d’interactivité : magie, cascades, bonneteau géant, diverses acrobaties, prouesses en vélo, jusqu’au numéro des assiettes chinoises et un final « à tout casser ».
Bianca, une spectatrice « bien choisie » par Giovanni dans le public pour ses qualités de musicienne a accompagné ces deux compères dans leurs numéros et a joué du piano dans des positions inhabituelles….
Le père Noël a profité d’une petite pause dans ses préparatifs pour venir à la fin du spectacle faire une visite aux enfants présents venus très nombreux et a aidé à la distribution des goûters.

Pour le dernier concert de l’année à la salle des Capucins, la Maitrise de Dijon a chanté Noël sous la direction d’Etienne Meyer. Le programme composé de chants sacrés et traditionnels a emmené les spectateurs dans l’esprit et la joie de Noël ! Ces derniers ont pu apprécier la haute qualité de ce chœur composé ce soir là de collégiens et d’anciens maîtrisiens. Parmi les œuvres proposées, on pouvait retrouver celles de Guillaume Bouzignac, Camille Saint-Saens, Jehan Alain, David Willcocks, Albert Alain...

Davide Cali écrivain suisse italien, dessinateur et scénariste d’albums jeunesse est venu « papoter » avec les élèves de l’école primaire Anatole-France à l’Espace culturel Carnot ou directement dans leur établissement. Le but était de lui montrer leur travail fait en amont en réalisant des dessins animés oralement avec à la base le livre de l’auteur «  Moi, j’attends ». Un petit métrage fort bien réussi et bien présenté.
C’est ainsi que 92 enfants de CP, CE1, CE2 de l’école issoise ont pu faire connaissance avec Davide Cali. Cette rencontre était organisée par la médiathèque de Côte-d'Or qui a lancé un nouvel évènement intitulé «  ça papote », en partenariat avec les bibliothèques de neuf communes dont Is-sur-Tille. Chaque année un auteur ou un illustrateur sera invité à partager son art avec les jeunes écoliers en partenariat avec les bibliothèques du réseau départemental.
Nadine Ginhoux adjointe du chef de service de la médiathèque de Côte-d’Or a expliqué « Autour de la venue de l’auteur Davide Cali, qui était présent dans ces neuf communes du 23 au 28 janvier, nous avons organisé des spectacles dont un le 25 janvier à Is-sur-Tille intitulé «  Cousu de fil rouge » joué par la compagnie de l’éclaircie. Il y a eu aussi des ateliers avec des intervenants pour que les enfants comprennent mieux les thématiques abordées par l’auteur dans ses différents livres.
Souvent teintés d’humour, ses livres sont plein d’humanité et éveillent, chez les jeunes lecteurs, une réflexion sur des sujets profonds : l’amour, la guerre, la violence, les drames familiaux ou encore le monde du travail ».

Dans le cadre de la saison culturelle Arts et Scènes proposée par le département aux différentes collectivités, la ville d’Is-sur-Tille avait programmé ce samedi 11 février, Souffle aux corps, un spectacle créé par la Compagnie les Alentours rêveurs.

Serge Ambert, chorégraphe et danseur, et Arnaud Méthivier, accordéoniste ont offert aux spectateurs un voyage à travers leurs arts où corps et sons se rencontrent, s’écoutent, se répondent et délivrent sentiments et émotions.
Les deux artistes, s’inspirant du lieu et de l’instant, ont improvisé un surprenant duo chorégraphique et musical emmenant le public dans leurs sensibilités, leurs ivresses, leurs inquiétudes, leurs enthousiasmes…

Ce mercredi 1er mars, Maxime l’explorateur a emmené avec lui plus de 300 spectateurs dans sa mission autour du monde.
Dans la perspective de la création d’un zoo, Max devait ramener des six continents des animaux. Ce spectacle créé par Bigmax Création,  très interactif, alliant humour et pédagogie,  a enthousiasmé les enfants qui au final ont bien compris les maladresses de notre aventurier. Celui-ci n’avait en effet pas vraiment envie de capturer ces divers et magnifiques animaux pour les conduire loin de leurs environnements et les priver de liberté.

L’espace culturel Carnot accueille jusqu’au 2 avril l’exposition « C’est plié » de Karim Zangar. Cet artiste issois, professeur de mathématiques au collège Paul-Fort expose pour la première fois.
Karim Zangar  est autodidacte. De nature curieuse, il a toujours été particulièrement attiré par les arts. C’est au fil des années, après avoir découvert et admiré  des œuvres,  dans des expositions notamment, que l’envie de créer à son tour lui est venue. Voilà maintenant  six ans que Karim découpe, plie, roule, peint, colle... Les matières principales qu’il utilise sont le papier journal, l’encre, la peinture acrylique et le carton.
Il a un intérêt particulier pour Vermeer Johannes, Picasso, Paul Klee, Per KirKely, l’art aborigène. On retrouve dans ses tableaux ces diverses influences.
 Il aime entrer dans la démarche de certains artistes avec sa touche personnelle pour mieux les comprendre et « parce que ça lui correspond tout simplement ».
Les portraits constituent la majorité du genre de ses œuvres. Ce sont des personnages imaginaires  au regard très expressifs. Ce sont des regards qui figent le spectateur, l’interpelle, l’interroge, l’alerte. Il y a également des regards sensuels, pensifs, des regards doux, remplis de sollicitude et d’altruisme. « Ce sont des regards qui nous parlent ».
Si les compositions abstraites et les portraits ainsi sculptés à l’aide de papier et de carton  sont très originaux, ils révèlent surtout les sentiments de l’artiste et délivrent de multiples émotions.

Ce samedi 8 avril, le Weepers Circus ont joué leur nouveau spectacle musical N’Importe Nawak !

Ils nous ont présenté, comme à leur habitude, un spectacle  bourré de bonne humeur et de poésie dans lequel ont été intégrés les chœurs des enfants de l’école de musique les milles et une notes. Les grands et les petits ont pu se retrouver sur des chansons destinées au jeune public que connaissent toutes les  générations et qui ont été revisitées par nos artistes.

Un grand merci donc aux professeurs de l’école musique et à nos cinq artistes pour cette belle aventure qu’ils auront fait vivre à ces enfants. La création de chansons avec un groupe renommé est une expérience que nos petits choristes n’oublieront pas !

Samedi 13 mai, le groupe dijonnais ILTIKA est venu présenter à la salle des Capucins son deuxième album « Hybride ». Cet album est fait de mélanges de genres : hip-hop, minimalisme américain, slam, musiques du monde et Jazz où se croisent les cultures française et arabe.
Les spectateurs ont eu également le plaisir d’entendre des chansons du premier album.
Ce concert, organisé par la Covati en partenariat avec la ville d’Is-sur-Tille, s’inscrivait dans la programmation d’Arts et scène, la saison culturelle 100% Côte-d’Or.

Dans le cadre du développement de son réseau de transport de gaz naturel, GRT gaz a engagé, sur le territoire, des travaux de grande ampleur : installer un nouveau gazoduc en Val-de-Saône sur 188 km. Préalablement, l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) a réalisé un diagnostic archéologique sur le tracé de la canalisation suivi d’une quarantaine de fouilles archéologiques.
Les journées nationales de l’archéologie furent l’occasion de montrer les premiers résultats de ces recherches.
Lors de la conférence qui a lieu à la salle de l’Orangerie le 16 juin, Frédéric Devevey et Carole Fossurier, archéologues de l’Inrap, ont dévoilé le village mérovingien découvert à Orville, une exploitation agricole gallo-romaine à Véronnes ainsi que les tombes monumentales que sont les tumulus découverts à Lux.
Ces recherches sont également exposées à l’espace culturel Carnot jusqu’au 19 août.
De la chasse préhistorique à l’assèchement des marais de la Tille en passant par l’agriculture gallo-romaine, les archéologues de l’Inrap proposent au public, à travers cette exposition, de suivre le tracé du gazoduc pour voyager dans le temps.
Sont dévoilés entre autres : des vestiges de l’âge des métaux et des vestiges préhistoriques à Ciel et à Selongey, un atelier de poteries et de tuileries à Broin, des traces d’une villa à Magny-sur-Tille, un site rural du Haut-Empire à Genlis et à Izier, une villa à Beire-le-Châtel, le travail du Chanvre à Arc-sur-Tille, des vestiges d’habitats mérovingiens à Marliens, etc.

Mercredi 21 juin, la Fête de la musique s'est déroulée dans la cour de l'espace culturel Carnot et au centre-ville.
À  l’espace Carnot, la soirée a commencé par un apéritif offert par la municipalité puis deux groupes de dijonnais se sont succédés proposant leurs propres compositions :
- Damien Saint Loup accompagné de ses deux musiciens a présenté une musique ni pop ni soul mais tout cela à la fois ;
- Puis, le groupe Komodo nous a livré sa propre définition de la pop, une pop fiévreuse aux accents électroniques et tribaux.
Les spectateurs ont pu se restaurer auprès du comité de jumelage Is/Waldmohr proposant des produits venus d’Allemagne et auprès de l’association Vivald’Is avec ses traditionnelles et délicieuses gaufres.
Pendant ce temps, le groupe « Echos du Gospel » faisait résonnance sur la place Général-Leclerc tandis que la rue Jean-Jaurès et la place Jean-Durant étaient animées par des propositions musicales variées.

Samedi 1er juillet, à la salle des Capucins, a eu lieu le concert “Mozart” sous la direction de Pierre Jean Yème et interprété par le chœur Arioso et les classes de flûte et de piano de l'école de musique de la covati Les 1000 & une notes. Ce spectacle était organisé par la mairie d’Is-sur-Tille.  Wolfgang  Amadeus  Mozart a fait revivre  sur  scène  ses  meilleures  œuvres. Depuis son plus jeune âge avec une de ses premières  sonates  jusqu’au  Requiem  qu’il dictera  de  son  lit  de  mort,  Wolfgang  partagera sa folie, sa délicatesse et son génie.

Dimanche, aux Capucins, un spectacle de la classe “école de cirque” a été proposé par une vingtaine d’enfants, âgés de 7 à 11 ans avec des numéros inédits. Ils étaient accompagnés par un Bigband créé spécialement pour cette occasion. Le spectacle s'est terminé avec la participation des élèves de
l’école "R’ de cirque".

Les journées du patrimoine ont introduit cette année les commémorations du Centenaire de la présence américaine organisées par la ville d’Is-sur-Tille et soutenues par de nombreux partenaires.

Au cours de ce week-end, la façade de l’espace Carnot a été recouverte de l’œuvre de Sabine Witteman, Farewell. Cette œuvre est composée de six bannières regroupant 238 casques Brodie en mémoire aux 238 soldats américains décédés à l’hôpital du camp américain. Le bleu et le rouge, couleurs primaires, sont communes aux deux drapeaux, français et américain. Au centre se trouve les portraits du Maréchal Foch et celui du Général Pershing, ce dernier ayant été peint en direct devant le public.

L’exposition sur la présence américaine a été également inaugurée en présence des groupes de travail du Centenaire, d’élus et des partenaires financiers de la ville.

Le samedi 21 octobre, de nombreux visiteurs ainsi qu’une trentaine d’exposants se sont déplacés pour participer à la douzième édition de la Fête de la Truffe et des Papilles. Plusieurs animations mettant en avant la truffe de Bourgogne (intronisations, conférence, démonstration de cavage et de recettes à base de truffes) ont également permis de faire apprécier et connaître ce produit emblématique du territoire au grand public. Malgré une faible quantité de truffes (environ 7 kg étaient proposés à la vente), le marché aux truffes fraîches, labellisé par la Fédération française des trufficulteurs, propose depuis 2016 des produits de qualité aux consommateurs. En effet, un règlement corédigé avec l’Association de la Truffe Côte-d’Orienne permet d’assurer un meilleur contrôle des truffes vendues et d’appliquer la norme qualité « truffe fraîche ». Parallèlement à ce marché, un marché bio et de Pays ont mis en avant divers producteurs locaux. De plus, petits et grands ont pu profiter d’une représentation de danse folklorique proposée par les Villageois, ainsi que de balades à poneys et d’une exposition d’animaux de la ferme. La journée, qui s’est terminée sous la pluie, s’est clôturée par le concert du groupe London Calling qui ont assuré une prestation pop-rock de qualité au public présent.

Cette année, pour son concert de la Sainte-Cécile, l’ASEDM et la Lyre Vald’Is ont invité l’harmonie de La Clusaz, "L'Echo des Aravis". Il s’agissait de la deuxième rencontre entre ces deux orchestres puisque nos musiciens locaux sont allés jouer en Haute-Savoie il y a deux ans.
La Lyre Vald’Is dirigée par Bertrand Jeannin et Catherine Simonin ainsi que l'harmonie de La Clusaz dirigée par Lionel Rivière ont emporté les spectateurs avec un programme riche et varié.
À noter dans les deux orchestres, la participation de très jeunes musiciens qui ont réalisé leur premier concert.

Le dimanche matin, devant la Mairie, l’Harmonie de La Clusaz a offert à la population une « aubade de cors des Alpes » qui a fait écho dans le cœur de la ville d’Is-sur-Tille.

Le spectacle de Noël pour tous a été proposé cette année par la Compagnie Poudre d’Escampette. En attendant la venue du père Noël, le couple Pénélope et Benny ont joué au chat et à la souris, se croisant, se perdant, se retrouvant et nous livrant de belles acrobaties de cirque tout en drôlerie, finesse et émotion, pour le plus grand bonheur des petits et des grands enfants…

L’espace Carnot accueille l’exposition « Balades colorées 2018 » de l’association de peinture ALC Valduc jusqu’au 31 mai. Les différents peintres présenteront leurs réalisations d’aquarelles, d’huiles, d’acryliques ou pastels en se succédant tous les 7 jours.

Cette balade colorée 2018 est particulière puisqu’elle a aussi le signe d’un au revoir. En effet, Catherine Besnard qui dirige l’atelier de peinture depuis plus de 20 ans et son époux, Rémy Besnard, président de l’association quittent la région pour profiter des joies de la retraite en Bretagne, région natale de Rémy.

En 20 ans, Catherine Besnard aura fait partager sa passion des Arts plastiques et guider 87 artistes locaux. Mais cette dynamique, impulsée par Catherine, cette relation amicale animée autour de la création et l’envie de toujours s’améliorer dans son art va se poursuivre au sein de l’espace Carnot. Une nouvelle association a été créée pour cela, l’association Art’Is Peinture sous la présidence de Chantal Lépine.

La compagnie Coléoptère a proposé ce samedi 7 avril « Chronique des sentiments », une pièce de théâtre, écrite, interprétée par Yannick Longet et Maren Gamper et dont la mise en scène est de Matthias Dix. Cette pièce de théâtre a livré sans échanger un seul mot, l’histoire d’une vie de deux êtres qui s’aiment, à travers le temps qui passe et les aléas de la vie.

Le superbe jeu des artistes mêle plusieurs arts, les arts des mimes, la danse contemporaine, le jeu clownesque, le théâtre d’objet. Les silences et les interprétations musicales au piano et à l’accordéon ont sublimé cette pièce.

La compagnie coléoptère a surpris les spectateurs par ce spectacle tout en images, finesse et poésie.

La ville d’Is-sur-Tille a proposé ce samedi 12 mai à la salle des Capucins, un spectacle original, Babara, à deux voix, qui associe chansons, textes parlés et scénographie théâtrale.
Ce spectacle est une création du groupe dijonnais Confidences. Il a été conçu en 2017, en mémoire à la grande artiste, qui nous a quittés en novembre 1997, il y a 20 ans passés.
La chanteuse Renata et la comédienne Violaine ont joué, interprété et sublimé le verbe poétique de la dame brune, accompagnées par Francis Harbulot au piano. Les spectateurs ont pu redécouvrir ou découvrir les paroles des chansons de Barbara que les deux voix déployaient avec force, fragilité et émotion.
La mise en scène de ce spectacle a été conçue par Danielle Latroy-Fuster.

Le festival de mots croisés, organisé par l’association Is Mots Croisés en partenariat avec la ville d’Is-sur-Tille, a eu lieu samedi 26 mai. La journée a commencé dans la rue Dominique-Ancemot par la résolution d'une grille de 600 cases créée par Jean Rossat, verbicruciste.

Puis, le tournoi des collèges, a réuni soixante-quatre candidats, soit trente-deux équipes, d’élèves de cinquième, venues de Bourgogne-Franche-Comté et de départements limitrophes, représentant ainsi 22 collèges. Ces derniers se sont affrontés lors de matchs d’un quart d’heure. C’est le collège Arthur-Rimbaud, de Mirebeau-sur-Bèze (Côte-d'Or), avec Manon Vuillaume et Éloïse Desroches, qui a remporté le titre face à l’établissement Claude-Girard de Châtillon-le-Duc (Doubs).

Miss Côte-d’Or, Manon Sauvageot, Issoise, était présente pour l’événement. Elle a participé à la remise des récompenses et a pris des photos avec tous les participants.

L’orchestre des jeunes Victor Hugo Bourgogne Franche-Comté a ravi le public présent à la salle des Capucins, samedi dernier. Le thème présenté était « Le fantastique » en musique. Nous avons pu écouter entre autres un extrait de la bande original de Harry Potter et la Chambre des Secrets (John Williams), Berlioz et sa Symphonie Fantastique ainsi que la titanesque symphonie n°1 de Mahler, la Nuit sur le mont Chauve de Moussorgski, Le jardin féérique de Ravel.
 
L'Orchestre des jeunes rassemble chaque été, depuis huit ans, 90 jeunes de 12 à 24 ans lors d'un stage de dix jours. Cette année, à l’issue de ce stage, quatre concerts gratuits ont été donnés dont un à la salle des Capucins.
Pour en savoir plus sur ce stage : http://www.ovhfc.com/article/le-fantastique-orchestre-des-jeunes-4-concerts

Les 35ème journées européennes du patrimoine ont été placées sous la thématique de l’art du partage. C’est pourquoi, la municipalité a proposé pour introduire ce week-end une exposition quelque peu atypique, puisqu’elle porte le thème non pas dans ses œuvres considérées individuellement, mais dans l’échange qu’elle représente. En effet, vous pourrez découvrir à l’Espace Carnot jusqu’au 7 octobre trois artistes qui partagent, outre l’amour de l’Art, la même fascination pour le papier, bien que leur cheminement soit très différent.

Bernd Nothen vient d’Allemagne. Depuis près de 40 années il ré-enchante le quotidien, l’ordinaire, en créant des collages, des assemblages de vieux papiers, de bribes d’affiches qu’il glane un peu partout. Le visiteur se plonge dans des petits détails qui cachent de véritables trésors iconographiques, des messages perdus…

Regis de Bengy, libraire, est un amoureux des livres et du papier. Des collages aux boîtes, les œuvres de Regis de Bengy sont de petits univers auxquels le regard des visiteurs donne vie. Il nous présente dans cette exposition des livres transformés. Il a en quelque sorte gardé le contenant, retiré le contenu, fait de mots et d’histoire pour y introduire une autre histoire qui sera, celle-ci plus visuelle et interpellera l’œil du visiteur

Samedi 15 septembre, la compagnie théâtrale « Le Hérisson masqué » nous a proposé, un véritable vaudeville, « Et Dieu créa L’homme, la femme et la maîtresse », une pièce de Mathias Perez et dont la mise en scène est de Étienne BURGY.

Les spectateurs, venus nombreux, ont pu partager tout au long de la pièce, des moments de rire face aux quiproquos, malentendus et révélations dévoilés par les différents personnages.

La compagnie théâtrale Le Hérisson masqué est de de Hortes en Haute Marne. Crée il y a plus de 50 ans aujourd’hui elle est constituée d’acteurs amateurs qui se produisent dans tout l’est de la France.

Depuis plusieurs années maintenant la ville d’Is-sur-Tille organise avec la Société d’Histoire Tille et Ignon une découverte de l’histoire d’Is-sur-Tille à travers ses bâtiments, ses personnages, ses rues, ses différents lieux et anecdotes. C’est toujours un agréable moment de partage entre visiteurs et accompagnateurs. Cette année René Perrat, vice-président de la société d’histoire, a évoqué plus particulièrement l’histoire de l’Eglise et du Colombier.

L’exposition de Marc Jeudy se déroule actuellement à la salle d’exposition de l’espace culturel Carnot. (jusqu'au 28 octobre)
Marc Jeudy est un professionnel de la photographie qui a exercé à Is-sur-Tille de 1969 à 2005 puis à Villecomte.
Artiste de la photographie de renommée internationale, il est reconnu pour être un expert de la photo en noir et blanc. Il avait, notamment, réalisé des portraits de célébrités tels que Claude Nougaro, Philippe Noiret ou Arielle Dombasle, sans oublier non plus, les émouvantes images de la ville de Tchernobyl, 25 ans après le drame.
Les Natures mortes présentent dans cette exposition sont une originalité du photographe qui les met en valeur par des mises en scènes ou installations surprenantes et une coloration partielle du cliché à l'aide de procédés anciens dits "techniques de virages". Ainsi ces natures mortes prennent vie…

Dimanche 14 octobre, la compagnie La Girafe qui aboie a présenté sa pièce Quand viendra l'aube, conçue dans le cadre de la commémoration de la fin de la Grande Guerre. Le texte et la mise en scène de Virginie Serre ainsi que l’interprétation des jeunes comédiens Léa Miriel et Thomas Laurans ont ému tout un public.
Quand viendra l’aube s’articule entre deux axes : la vie au front et la vie à l’arrière, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre : la souffrance et le courage des poilus, la condition et le rôle de la femme pendant la guerre, leurs espoirs déchus. Cette pièce met particulièrement en lumière les femmes qui ont contribuées à l’effort de guerre en artisanes acharnées, trop souvent oubliées, et leur émancipation.
Un bel hommage à cette jeunesse envolée !

A l’occasion des animations de « Noël pour tous », la ville d’Is-sur-Tille avait invité la compagnie Big Max pour un concert destiné aux enfants. Les artistes « plein de malices » ont proposé leurs propres compositions ainsi que des reprises célèbres. A la fin de chaque représentation, le Père Noël est venu prêter main forte aux organisateurs pour distribuer les petits goûters offerts par la municipalité, pour le plus grand plaisir des enfants.

Vendredi soir, la ville d’Is-sur-Tille a accueilli le chœur Singall Gospel qui, comme chaque année en cette période, a proposé un concert dédié plus particulièrement à Noël.
Les chanteurs ont plongé les spectateurs venus nombreux dans une ambiance magique et chaleureuse.

Cette année, le concert de la Sainte Cécile a eu lieu exceptionnellement ce samedi 15 décembre.
L’Harmonie « La Lyre Val d’Is » d’Is-sur-Tille sous la direction de Catherine Simonin-Richard et de Bertrand Jeannin avait invité l’Harmonie « L’union Vittelienne » de Vitteaux. Ces deux orchestres ont proposé des morceaux très divers, principalement issus de musiques de film. A noter la participation de très jeunes musiciens dans les deux formations.

SAMEDI 9 MARS 2019 20H30 Salle des Capucins à Is-sur-Tille !

dIRE sTRAITS est l’un des groupes de rock les plus emblématiques des années 70 et 80.
Un groupe de musiciens sensibles au célèbre répertoire de Dire Straits et Mark Knopfler décident de monter un Tribute (groupe de reprise). L’objectif est de rendre une qualité irréprochable pour ne pas écorcher les superbes mélodies de ce groupe mythique très productif.
L’enjeu était de trouver LA voix et LE guitariste, dont les couleurs sont la particularité de Dire Straits reconnaissables entre tous dès la première note. C’est chose faite, puisque c’est Hubert Boulogne qui est au chant, et François Combarieu à la guitare. Les six musiciens que composent Telegraph road ont un parcours de musiciens extrêmement riche ce qui donnent un résultat parfait.
Des morceaux les plus bruts et épurés des premiers albums jusqu’aux titres à la production fine et travaillée de la fin des années 80, en passant par des versions live d’anthologie, revivez avec Telegraph Road les meilleurs moments bluesrock de la carrière de Dire Straits.

RESERVATIONS
• à la bibliothèque municipale ou à l'accueil de la mairie
• ou via le formulaire ci-dessous. Cette pré-réservation sera validée à réception du paiement par chèque (à l’ordre du Trésor public) à la bibliothèque, 1 avenue Carnot 21120 Is-sur-Tille.
La confirmation se fera par mail. Les billets seront à retirer le jour même du spectacle à l’accueil de la salle des Capucins.

TARIF unique : 20 euros

tELEGRAPH rOAD tribute to dIRE sTRAITS a fait revivre ce samedi 9 mars, à la salle des Capucins, le groupe mythique des années 1980.

Ce concert a été organisé par la ville d’Is-sur-Tille, diffusé par BHMUSICLIVE, avec qui la commune a collaboré pour la deuxième fois.

À travers les plus belles mélodies écrites par Mark Knopfler, les six musiciens ont emmené le public dans une belle ambiance blues-rock. Leur performance sublimée par un beau jeu de lumière a conquis et surpris les spectateurs.

L’Espace culturel Carnot accueille l’exposition « de l’Atlantique au Pacifique » de Popi Tawen jusqu’au 5 mai.

Popi Tawen  illustre à travers cette exposition de dessins et photos un long voyage de deux ans et demi à travers le Pérou, la Bolivie, la Colombie, l’Équateur, l’Argentine, le Mexique et le Chili.

C’est au départ de cette longue aventure en Amérique du Sud, dans l’aéroport de Madrid où elle faisait escale, que notre artiste a sorti un crayon et une feuille de papier et a commencé à dessiner pour patienter. Depuis, elle n’a plus lâché le crayon.

Is-sur-Tille, ses êtres et ses pierres, 30 ans après.

Marc Jeudy présente jusqu’au 10 juin à l’Espace culturel Carnot son exposition « Is-sur-Tille, ses êtres et ses pierres, 30 ans après ». Le photographe issois, de renommée nationale propose à travers différents clichés de se replonger près de 30 ans en arrière. C’est avec beaucoup de nostalgie et d’émotion que les visiteurs peuvent découvrir tous ces portraits d’hommes et de femmes dont certains ne sont plus là aujourd’hui ainsi que différents lieux d’Is-sur-Tille qui ont bien changé. Marc Jeudy a immortalisé ces visages, ces lieux, ces instants de vie avec beaucoup de cœur, talent et sensibilité. À travers cette exposition, les souvenirs remontent à la surface.

La ville d’Is-sur-Tille a participé pour la deuxième fois à la journée du clocher organisée par le Conservatoire européen des cloches et horloges. Ce sont plus de 130 visiteurs qui ont monté les 65 marches qui mènent au clocher de l’église Saint-Léger. Ils ont pu découvrir les trois cloches qui rythment la vie des Issois depuis quelques siècles : Louise arrivée à Is-sur-Tille en 1783, Suzanne-Mélanie arrivée en 1835 et Geneviève-Marie-Thérèse-Jeanne arrivée en 1926. Elles pèsent respectivement 1802 Kg, 334 Kg et 525 Kg. Louise a été classée au monument historique le 15 avril 1943.

Le 6 et 7 juillet s’est déroulé un nouveau festival à Is-sur-Tille autour de l’accordéon, organisé par la compagnie Quilombo en partenariat avec la ville d’Is-sur-Tille, la Covati et le département. Pendant ces deux jours, se sont succédés exposition, concerts, initiations et perfectionnement autour de cet instrument. Diatonique ou chromatique, à bouton ou à touches piano, les spectateurs ont pu constater que cet instrument se prête à tous les styles musicaux.

Le groupe rock Erwtensoep a débuté les festivités le samedi soir puis se sont enchaînés, le dimanche au Parc des Capucins, des concerts, bals et initiations à la danse : du folklore avec le groupe la Bourguignonne, Audrey Couette et Pascal Capiomont ont proposé un répertoire années 80, les élèves des écoles de musique de la Covati, de Mirebeau-sur-Bèze et de Marsannay-la Côte sous la houlette de Claude Minot, ont joué sur des variétés françaises et internationales. Puis, après des airs de ginguette et de bal musette avec Claude et Muriel, une démonstration et une initiation de tango argentin se sont déroulées avec Carolina Udoviko.

La soirée s’est terminée avec le groupe Beltran qui a proposé des musiques irlandaises invitant à danser sur des airs originaux. Les visiteurs ont pu découvrir, à l’école de musique, une exposition de deux passionnés :  Alain Millet, collectionneur de bandonéons et Daniel Penaud, collectionneur d’accordéons anciens. Ils ont retracé la naissance complexe et l’évolution de ces objets technologiques qui ont largement fasciné les créateurs d’instruments.

Ce dimanche 22 septembre 2019 a été inauguré l’orgue d’Is-sur-Tille à l’église Saint-Léger.

Cette célébration vient couronner 22 ans de ténacité de l’association pour un orgue d’Is-sur-Tille (AOIS) qui livre aujourd’hui à la ville d’Is-sur-Tille et à la paroisse Is-Grancey un instrument unique, un orgue d’origine anglaise datant de 1886 créé par Banfield. Sa restauration minutieuse et choyée est l’œuvre du facteur d’Orgue Nicolas Martel.

L’inauguration a débuté par les discours de Claude Rousseaux, présidente de l’AOIS, de Thierry Darphin, maire d’Is-sur-Tille, Charles Barrière, conseiller départemental et Anne Liotard représentant l’équipe paroissiale d’animation. Ces discours ont été entrecoupés de chant par les Guides de la deuxième compagnie d’Is-sur-Tille et par la chorale du Vallon, le Chœur des Hommes. Les membres de l’AOIS ont ensuite remis les clés de l’orgue à Thierry Darphin ainsi qu’au père Albert Zougrana, curé de la paroisse puis la plaque commémorative nommant tous les bénévoles et donateurs a été dévoilée.

Samedi 9 novembre, l’ensemble Carpe d’Yème a proposé une fantaisie poético-musicale En roue Libre.
Cette association créée en 2005 a pour vocation de faire vivre la musique classique à travers des spectacles originaux.
Ce soir là, les musiciens et comédiens ont invité les spectateurs à suivre un coureur cycliste échappé à l’arrière du Tour de France dans une balade nostalgique où les mots d’auteurs et notes de musiciens contemporains et plus anciens se sont mêlés avec élégance, précision et humour.

La compagnie issoise Et pourquoi pas ? a présenté ce samedi 23 novembre, « Enfin seul », une comédie poétique créée d’après trois œuvres : Le soir quand on est seul de Sacha Guitry, La comédie de la comédie de Jean Tardieu, En passant de Raymond Queneau.
Il s’agissait de la première représentation de cette création originale et subtile : un homme s’isolant quelques instants dans son grenier afin de goûter aux plaisirs de la solitude, convoque sa mémoire, sa conscience, sa volonté et sa fantaisie. Il les interroge et les confronte sur son enfance, ses romances délivrant ainsi avec humour, poésie, sa vision sur les rapports humains et le temps qui passe.

Mercredi 11 décembre, à la salle des Capucins, le spectacle "Noël Autrement" a été proposé par la Compagnie liquidation totale. Deux séances étaient prévues, à 14h et à 17h30. Les acteurs, Sylvie et Olivier, abordent le sujet de Noël dans tout ces détails : souvenirs d'enfance, rêves, témoignages mais aussi l'argent, les conflits, la société de consommation... Avec leurs interprétations et leurs danses loufoques, ce théâtre clownesque a fait rire les plus jeunes comme les plus grands. Le spectacle était suivi par la visite du Père-Noël.

Ce samedi 18 janvier s’est déroulé le concert d’hiver organisé par l'ASEDM la Lyre Val d'Is (Association de soutien à l'enseignement et au développement de la musique). Ce concert aura lieu dorénavant, chaque année, le troisième week-end de janvier et vient remplacer le concert de la Sainte-Cécile.
Cette année, l’invité d’honneur était le chœur polonais Hejnal Mazancowich. Cette formation dirigée par Krzystof Przemyk est originaire de la région de Cracovie. Son répertoire riche et varié comprend des pièces de différentes époques allant de la musique de la renaissance à des compositions contemporaines. La chorale se produit en Pologne, mais aussi en Europe, en Russie et a gravité sur les plus hautes marches des podiums des concours nationaux et internationaux notamment dans les catégories musique sacrée, musique catalane, folklore et chants de chasse.
La première partie de ce concert a été réalisée par l’orchestre harmonique La Lyre Val d’Is. Sous la direction de Catherine Simonin et Bertrand Jeannin, les musiciens ont proposé différentes pièces contemporaines notamment des musiques de films.
Les membres du chœur Hejnal Mazancowich ont ensuite pris place vêtus de leurs costumes traditionnels et ont offert aux spectateurs venus nombreux un vaste échantillon de leur répertoire. La chorale Arioso, sous la direction de Pierre-Jean Yème, les a rejoint pour terminer ensemble ce premier concert d’hiver.

À partir du mercredi 3 juin, la bibliothèque municipale d'Is-sur-Tille, située à l’espace culturel Carnot, sera de nouveau ouverte au public sur rendez-vous uniquement :

• Le mercredi de 9h à 12h et de 14h à 18h
• Le samedi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h

Les rendez-vous sont à prendre le mardi ou le vendredi de 13h à 17h au 03 80 95 23 33

Nouveau service : « retour des prêts »

à la bibliothèque municipale

Les documents (livres, CD, DVD) peuvent être déposés dans la boîte aux lettres se trouvant au niveau de l’aile gauche de l’espace culturel Carnot, côté avenue Carnot.

L’exposition Notre berceau dans les étoiles est prête à vous accueillir ! Une sélection de livres sur le thème du ciel et de l’espace vous attend également à la bibliothèque.
Tous les atomes dont nous sommes constitués ont été créés dans les étoiles… Sur de magnifiques images de la NASA, cette exposition évoque le lien qui nous unit avec l’ensemble du cosmos.

Proposée par la ville d’Is-sur-Tille en partenariat avec la Médiathèque de Côte-d’Or et l’ALC section astronomie Valduc, l'exposition se tiendra du 3 au 30 août à l'espace culturel Carnot :
• mercredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h
• samedi de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h

Entrée libre

L’exposition Notre berceau dans les étoiles est prête à vous accueillir ! Une sélection de livres sur le thème du ciel et de l’espace vous attend également à la bibliothèque.
Tous les atomes dont nous sommes constitués ont été créés dans les étoiles… Sur de magnifiques images de la NASA, cette exposition évoque le lien qui nous unit avec l’ensemble du cosmos.

Proposée par la ville d’Is-sur-Tille en partenariat avec la Médiathèque de Côte-d’Or et l’ALC section astronomie Valduc, l'exposition se tiendra du 3 au 30 août à l'espace culturel Carnot :
• mercredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h
• samedi de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h

Entrée libre

Exposition de peintures par Christelle Prat à l’espace culturel Carnot.

Avec une préférence pour la peinture à l'huile, son travail invite à découvrir l’instant présent à travers des œuvres représentant la chaise comme objet de questionnement entre espace intérieur et extérieur. Ses aquarelles jouent avec le sens des mots et illustrent l’esprit d’un moment.

Horaires de l'exposition :

Journée européenne du patrimoine

Ce dimanche 20 septembre, la ville a proposé deux balades à travers des bribes de l’histoire d’Is-sur-Tille.

Les parcours commentés par René Perrat, membre de la Société d’histoire Tille-Ignon, ont permis de découvrir ou redécouvrir quelques moments de l’histoire de la commune ainsi que ses bâtisses et son patrimoine naturel.

Exposition « Raku et grès émaillé » à l’espace culturel Carnot du 3 octobre au 1er novembre, par Florie Minot. ⚠️ Les dates de l'exposition ont été prolongées.

Objets utilitaires ou décoratifs, les créations céramiques de Florie Minot se déclinent sous deux techniques au rendu très différent. Formée au lycée polyvalent d'arts, design et céramique Henry Moisand en Côte-d’Or, elle travaille depuis plusieurs années le Raku. Cette technique de cuisson ancestrale japonaise consiste à provoquer un choc thermique qui fissure l’émail des objets. Les pièces encore incandescentes sont ensuite enfumées pour teinter les craquelures. En perpétuelle évolution, elle travaille également le grès roux émaillé.
 
Horaires de l'exposition :
• mercredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h
• samedi de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h
• dimanche de 10 h à 12 h en présence de l’artiste

Entrée libre
Port du masque obligatoire dans la salle

Journées européennes du patrimoine
Plus d'informations ici

• Exposition
"Napoléon, 1er empire, une époque, un héritage"
du samedi 18 septembre au dimanche 17 octobre
à la bibliothèque municipale

• Balade sous l'empire
dimanche 19 septembre, à 9 h 30 et 14 h
devant la mairie, place Général-Leclerc

Mercredi 22 septembre, la compagnie L’enchantement de la Mandarine a présenté à l’espace culturel Carnot un spectacle musical autour des chansons et textes de Georges Brassens. Ce spectacle organisé par la bibliothèque d’Is-sur-Tille s’inscrivait dans le cadre de l’été culturel des médiathèques et a été financé par la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles).

Concert de Nola Kollectiv'
Dans le cadre du Festival Arts et scènes, samedi 25 septembre, la municipalité d'Is-sur-Tille en partenariat avec le Conseil départemental, représenté par  Emmanuel Aubry, ont reçu salle des capucins, le Groupe Nola Kollectiv' Brass Band qui a interprété différentes musiques de la Nouvelle Orléans.
Ensembles de cuivres et percussions, rythmes entraînants et énergiques.

Samedi 2 octobre, la municipalité d'Is-sur-Tille a eu le plaisir d'accueillir la troupe de théâtre Le Hérisson masqué qui a interprété, salle des Capucins, la pièce La Culotte de Jean Anouilh.
Un agréable moment de détente devant une comédie faite d'humour et de fantaisie.

Exposition proposée du 23 octobre au 14 novembre à l'espace culturel Carnot

Vendredi 22 octobre, le vernissage de l'exposition de Brigitte Chassang, céramiste, a eu lieu à l'espace culturel Carnot. Ancienne enseignante au lycée Henry Moisand formant aux métiers de la céramique à Longchamps, son atelier se trouve chez elle, à Foncegrive.

Brigitte cuit ses différentes poteries à très haute température (1 280 à 1 320°C) pendant trois jours consécutifs sans interruption. La conduite de la cuisson jusqu’à son terme est un véritable savoir faire. Cette technique d’origine orientale est pratiquée depuis des millénaires.

Plusieurs animations ont été proposées à Is-sur-Tille lors des journées du patrimoine :
► jeux proposés par la ludothèque autour du patrimoine culturel et architectural
► visites libres des différents bâtiments du patrimoine Charbonnel récemment rénovés (Asile Charbonnel, Roseraie, kiosque et chapelle Saint-Charles)
► présentation de l'orgue d'Is-sur-Tille par l'association les Amis de l'orgue
► jeu de piste en plein air "Le trésor de la comtesse Charbonnel"

Lundi 11 décembre, Thierry Darphin, maire d'Is-sur-Tille, a inauguré la micro-folie (musée numérique, casque de réalité-virtuelle).

Ce nouvel outil permet d'accéder au patrimoine culturel de différents musées régionaux et nationaux.

Étaient présents les représentantes du Parc de la Villette, la Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne-Franche-Comté, la Médiathèque de Côte-d'Or, la Région, le Pays Seine-et-Tille en Bourgogne, l'administratrice à la MSA, le Président de la COVATI ainsi que les partenaires comme la Mission locale et la principale du collège Paul-Fort.